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15 avril 2019

Contenu de cet article :

  • Nouveaux signes de reprise
  • Stimulation budgétaire
  • Rebond du pétrole
  • Tour d’horizon des régions canadiennes

Webémission

Nouveaux signes de reprise

  • L’économie mondiale continue de donner des signes de reprise.
  • Les prévisions générales de croissance du PIB mondial en 2020 ont augmenté pour un deuxième mois d’affilée. On ne peut vraiment affirmer qu’il s’agit là d’une nouvelle tendance, l’année 2020 ne figurant dans les prévisions que depuis trois mois. Toutefois, cette amélioration contraste assurément avec la tendance négative qui ressort des révisions apportées aux prévisions pour 2018 et 2019. D’ailleurs, malgré le recul continu des prévisions mondiales pour 2019, la diminution des attentes n’est plus aussi généralisée sur le plan géographique. On note de légères hausses des prévisions pour certains pays, alors qu’il n’y en avait aucune il y a quelques mois.
  • La Chine a publié plusieurs nouvelles données qui portent à croire que l’économie se stabilise après une longue période d’affaissement. Cet élément est important, car la Chine génère une part hallucinante de la croissance mondiale correspondant au tiers. Les plus récents indices des directeurs d’achats (PMI) de la Chine ont tous enregistré une progression qui s’est ajoutée aux résultats du mois précédent, pendant lequel l’un des quatre indices avait crû. Le montant des nouveaux prêts en yuans a aussi dépassé les attentes pour un deuxième mois de suite. Nous doutons que l’économie chinoise puisse accélérer, mais sa trajectoire semble au moins se stabiliser.
  • Après un piètre mois de février, au cours duquel la création d’emplois a été à peine positive, les données sont redevenues normales en mars, 196 000 postes ayant été créés. D’autres mesures du marché du travail sont restées solides tout au long de la période.
  • L’indice ISM du secteur manufacturier américain a enregistré un rebond inattendu en mars, passant de 54,2 à 55,3. Cependant, l’indice ISM du secteur non manufacturier a reculé plus que prévu. Ce repli s’explique par le fait que plusieurs indicateurs économiques dénotent toujours une baisse, par contraste avec la liste des bons résultats.
  • Dans la mesure où une théorie peut l’expliquer – ce qui n’est pas toujours le cas – la logique économique qui sous-tend cette timide stabilisation de l’économie peut être décomposée en trois parties.
    1. Force est de constater que les conditions financières se sont assouplies maintenant que les banques centrales ont battu en retraite.
    2. Les mesures de stimulation budgétaire pour 2019 sont un peu plus importantes que ce qui avait d’abord été prévu, comme nous le verrons dans la prochaine section de la présente note.
    3. La décélération de la croissance est en grande partie un repli suivant un rythme trop soutenu. Cela signifie que la croissance devait ralentir quelque peu, et non qu’elle avait besoin de fléchir indéfiniment.
  • Cela dit, nous continuons de prévoir pour 2019 une croissance globale inférieure à celle de 2018, et une autre légère décélération en 2020. Il ne faut pas oublier que le protectionnisme continue d’exercer des pressions, que le soutien budgétaire diminue aux États-Unis et que le taux de croissance précédent était anormalement rapide. Le cycle économique est également à un stade avancé laissant entrevoir des risques orientés à la baisse.

Stimulation budgétaire

  • Nous mentionnons souvent l’atténuation des effets de la stimulation budgétaire aux États-Unis. D’après nos calculs, le pays a déjà perdu cette année l’élan que ces mesures lui avaient donné en 2018 et il devrait subir des vents contraires assez forts dès 2020.
  • Mais ce n’est pas tout. La stimulation budgétaire mérite aussi d’être évaluée à l’échelle mondiale. Elle semble légèrement favoriser la croissance.
  • Il en est ainsi surtout parce que plusieurs pays mettent en œuvre une politique budgétaire expansionniste en 2019.
  • Il convient cependant de clarifier certains points en ce qui concerne les États-Unis. Techniquement, on peut dire qu’ils poursuivent la stimulation budgétaire cette année, dans la mesure où leur déficit structurel est plus élevé que l’an dernier. Toutefois, l’apport financier ainsi généré est annulé par d’autres politiques publiques qui ne transparaissent pas dans le budget, comme les tarifs, la paralysie du gouvernement et les restrictions de l’immigration.
  • D’après les prévisions du FMI sur les soldes budgétaires structurels publiées au printemps 2019, la stimulation budgétaire augmentera le PIB de l’ensemble des économies développées de 0,3 pp en 2019, contre 0,2 pp en 2018. On peut donc s’attendre à ce que dans ces pays, la croissance du PIB gagne 0,1 pp en 2019 par rapport à 2018. Nous étions conscients de ce risque de hausse depuis quelque temps, étant donné que les gouvernements ont tendance à délier les cordons de la bourse quand la croissance ralentit.
  • Cependant, les effets s’inversent en 2020 et retranchent 0,1 pp, ce qui représente théoriquement une diminution de la croissance du PIB d’environ 0,4 pp de 2019 à 2020.
  • En Allemagne, la politique budgétaire a amoindri la croissance de 0,4 pp en 2018, mais devrait la rehausser de 0,6 pp cette année. La croissance devrait donc accélérer de 1,0 pp par rapport à l’an dernier.
  • En Italie, les retombées ont généré 0,1 pp en 2018 et représenteront 0,3 pp en 2019, soit une accélération de la croissance de 0,2 pp. De plus, contrairement à la plupart des autres pays, elles devraient produire un apport de 1,0 pp en 2020 et donc une hausse de la croissance d’environ 0,8 pp de 2019 à 2020.
  • Au Canada, le gain engendré par la stimulation budgétaire est de 0,2 pp par an pour 2018, 2019 et 2020. La croissance est donc plus forte que si ces mesures n’existaient pas, mais elle n’accélère pas d’une année à l’autre.
  • Par contre, au Royaume-Uni et au Japon, la politique budgétaire aura des effets négatifs au cours des prochaines années.
  • À l’extérieur du monde développé, la Chine est le pays qui entreprend la plus forte stimulation budgétaire. Le FMI estime qu’elle relèvera la croissance de 1,2 pp en 2019, tandis que le secteur privé table sur un bond de l’ordre de 2 pp. Cet apport est un peu plus élevé qu’en 2018, où il s’était établi à 0,9 pp. Par conséquent, dans la mesure où les autres facteurs restent les mêmes, l’accélération de la croissance de la Chine devrait être de 0,3 pp à 1,1 pp. Cependant, compte tenu d’un éventail d’obstacles, nous misons plutôt sur un léger ralentissement, malgré les efforts budgétaires.
  • En résumé, le monde bénéficiera en 2019 d’un léger soutien budgétaire dont il faut tenir compte. En revanche, l’année 2020 s’annonce un peu moins avantageuse, sauf si les politiques budgétaires se révèlent différentes des attentes actuelles.

Remontée du prix du pétrole

  • Le rebond du prix du pétrole WTI, passé d’un creux de 42 $ le baril à la fin de 2018 à 63 $ aujourd’hui, n’a pas échappé à notre attention. Cette hausse est de l’ordre de 50 %.
  • Que s’est-il passé ? Une variété de facteurs liés à l’offre et à la demande est en jeu.
  • Cette vigueur est en partie attribuable à l’amélioration des conditions de demande.
    1. La croissance économique s’est récemment raffermie, ce qui se traduit en théorie par une augmentation de la demande de produits comme le pétrole. La demande réelle de pétrole a considérablement augmenté en Inde et, dans une certaine mesure, en Chine.
    2. Le récent virage expansionniste des banques centrales se traduit par l’assouplissement des conditions de financement. Cet assouplissement entraîne à son tour l’accélération de la croissance (dénotant une augmentation de la demande de pétrole), un regain d’inflation (les prix augmentent plus vite, y compris celui du pétrole) et une comparaison plus avantageuse, du point de vue des placements, avec les obligations (le pétrole ne donne pas droit à des versements d’intérêts ; par conséquent, les avantages d’une obligation assortie d’un taux d’intérêt diminuent lorsque les taux reculent).
    3. Le stade avancé du cycle représente habituellement une période favorable pour les prix des produits de base, à condition que la croissance économique soit exceptionnellement robuste lorsque le cycle parvient à maturité. Ce n’est pas ce qui s’est produit au cours de la dernière année.
  • La vigueur du prix du brut est en grande partie imputable aux restrictions de l’offre d’or noir.
    1. L’OPEP a mis en œuvre d’importantes réductions de l’offre. Celles-ci visaient principalement à freiner la baisse du prix du pétrole, qui a pesé sur le marché l’automne dernier, mais il se peut aussi que l’objectif ait été de faire en sorte que l’appel public à l’épargne de Saudi Aramco s’effectue à bon prix. Le dysfonctionnement de l’économie du Venezuela a limité la production dans ce pays, tandis que les sanctions à l’encontre de l’Iran – même si elles sont dans l’ensemble moins strictes que prévu – restreignent l’offre dans une certaine mesure.
    2. En Alberta, la réduction obligatoire de la production, de plus de 300 000 barils, a aussi contribué à équilibrer le marché mondial, mais ces restrictions font maintenant l’objet d’allégements.
    3. Aux États-Unis, les producteurs de pétrole de schiste font preuve d’un peu plus de rigueur dans leurs plans de production et d’expansion.
  • La hausse du prix du pétrole a de multiples conséquences.
    • Premièrement, l’inflation devrait grimper légèrement au cours des prochains mois, comme le montrent déjà les plus récentes statistiques sur la hausse des prix. Elle devrait augmenter encore un peu compte tenu des plus récentes machinations entourant le pétrole, ainsi que des pressions à la hausse sur les salaires. Cela dit, il est peu vraisemblable que l’inflation pose problème avant longtemps.
    • Naturellement, la hausse du prix du pétrole favorise les pays exportateurs d’or noir et défavorise les pays importateurs. Soulignons que les États-Unis semblent avoir fait le saut de la deuxième à la première catégorie. Ce pays n’est pas vraiment un exportateur net de pétrole, mais il devient un exportateur net d’énergie. D’ailleurs, l’élasticité remarquable des prix des producteurs de pétrole de schiste est telle que l’économie américaine semble profiter légèrement d’une hausse du prix du pétrole et de souffrir de sa baisse.
    • Les répercussions sur l’inflation et la croissance devraient être plutôt modestes en raison de ce qui constitue, dans une perspective globale, un prix normal pour le pétrole. Il y a six mois, le prix du pétrole était plus élevé qu’aujourd’hui et atteignait 76 $ le baril. Actuellement, il faudrait plutôt dire que le prix de l’or noir n’est plus temporairement bas au lieu d’affirmer qu’il est très élevé.
  • Dans une perspective élargie, le prix du pétrole était d’à peine 26 $ le baril au début de 2016. En revanche, il dépassait les 100 $ il y a moins de cinq ans. Compte tenu du décalage lié à l’intégration des fluctuations du prix du pétrole dans la conjoncture macroéconomique, le message le plus utile est peut-être que le prix de l’or noir semble assez normal et s’établit au beau milieu de sa fourchette historique récente.
  • En ce qui concerne les perspectives des prix, nous estimons que les niveaux actuels devraient se maintenir. À moyen terme, la juste valeur sera vraisemblablement moins élevée et s’établir autour de seulement 50 $ le baril, soit le prix nécessaire pour justifier une hausse de l’offre, selon les producteurs américains de pétrole de schiste. À long terme, l’énergie renouvelable pourrait exercer des pressions à la baisse sur les prix.

Report du Brexit

  • La date butoir du Brexit a de nouveau été reportée, cette fois jusqu’au 31 octobre.
  • Ce report renforce notre conviction selon laquelle a) personne ne souhaite un Brexit (brutal) accidentel, et b) la probabilité d’un Brexit plutôt modéré, vraisemblablement sous la forme d’une union douanière, augmente.

Brève revue de l’actualité au Canada…

Budget de l’Ontario

  • Le budget de l’Ontario a logé à l’enseigne de l’austérité généralement attendue. Selon les calculs des Services économiques RBC, le financement de 20 des 25 postes importants de dépenses sera réduit au cours de la prochaine année. La hausse annuelle des dépenses totales de programmes ne sera que de 1,2 % au cours des quatre prochaines années. Selon les prévisions, les dépenses par habitant corrigées de l’inflation diminueront de 1,6 % par an.
  • Cette diminution devrait théoriquement se traduire par l’élimination du déficit budgétaire persistant de la province à l’exercice 2023-2024.
  • Allant à l’encontre de la tendance, le gouvernement a prévu des fonds supplémentaires pour les soins de santé, la modernisation des établissements d’enseignement, une ligne de métro importante et un nouveau crédit d’impôt pour les services de garde.
  • L’absence de nouvelles mesures et de réductions d’impôt favorables aux entreprises en plus de l’amortissement accéléré annoncé l’automne dernier a été décevante pour certains.

Nouvelle taxe sur le carbone

  • Le 1er avril, les quatre provinces qui avaient refusé de mettre en œuvre leur propre régime de taxe sur le carbone ont été assujetties à un régime fédéral équivalent.
  • En Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario et au New Brunswick, le prix de l’essence a maintenant augmenté de 4,4 cents le litre. La taxe ne remplit pas les coffres de l’État du fait que 90 % des fonds sont remboursés aux ménages des provinces dans lesquelles ils sont perçus.
  • Toutefois, elle a certainement des conséquences quant à sa répartition, étant donné qu’elle touche ceux qui consomment le plus de combustibles à base de carbone et récompensent les autres.
  • La hausse des prix de l’essence a un effet inflationniste, mais dans une faible mesure : le coût de l’essence servant au transport représente 3,3 % du panier de consommation. Le prix du litre d’essence s’est accru d’environ 3 %. Étant donné que le changement touche à peu près la moitié du pays, il augmente les prix à la consommation de seulement 0,05 % (quoique de façon permanente).

Déclarations

Ce rapport a été fourni par RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) à titre informatif seulement et ne peut être reproduit, distribué ou publié sans le consentement écrit de RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA Inc.). Au Canada, ce rapport est fourni par RBC GMA Inc. (dont Phillips, Hager & North gestion de placements). Aux États-Unis, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral. En Europe, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (UK) Limited, qui est agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni. En Asie, ce document est fourni par RBC Investment Management (Asia) Limited, qui est inscrite auprès de la Securities and Futures Commission (SFC) de Hong Kong.



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Les rendements sont estimés à des fins d’illustration seulement et ne constituent en aucun cas des prévisions. Le rendement peut être supérieur ou inférieur à celui indiqué, et peut varier considérablement à plus court terme. Il est impossible d’investir directement dans un indice non géré.




Note sur les énoncés prospectifs


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