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De nouvelles tensions macroéconomiques émergent-elles dans l’univers des placements ? Compte tenu des préoccupations du marché concernant le plafond de la dette des États-Unis, des signes d’essoufflement de l’élan économique en Europe et du ralentissement du rythme d’ajustement en Chine après la pandémie, Jeremy Richardson affirme que les investisseurs doivent faire preuve de patience avant le retour de la stabilité dans les prévisions macroéconomiques générales.

Durée : 6 minutes 41 secondes

Transcription

Bonjour, je m’appelle Jeremy Richardson et je fais partie de l’équipe Actions mondiales RBC. Je vous présente aujourd’hui une nouvelle mise à jour. En tant qu’investisseurs, nous aimerions penser qu’il existe un lien étroit entre les données fondamentales des sociétés et la reconnaissance de leur valeur dans les portefeuilles de placement. À notre avis, le facteur le plus déterminant du rendement à long terme des actions réside dans les données fondamentales des sociétés, leurs bénéfices, dividendes et flux de trésorerie, mais la répercussion de la valeur liée à ces données fondamentales dans les valorisations et les prix des actions n’est pas toujours homogène ou linéaire.

Nous pouvons subir des vents contraires dus à des changements économiques dans le paysage des placements, et nous avons ressenti ce genre de tension sur les marchés ces derniers temps. Oui, nous nous sommes concentrés sur les données fondamentales des sociétés, et je voudrais parler des sociétés axées sur l’intelligence artificielle, dans le contexte de la dernière période de publication des résultats, et de la tendance du marché à préférer celles qui ont mis en évidence leur capacité à exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle à court et à moyen terme. Alors que pour les personnes qui s’intéressent davantage au moyen et long terme, c’est-à-dire un horizon où l’intelligence artificielle demeure quelque peu conceptuelle, un certain scepticisme reste de mise. Toutefois, ce segment de vigueur relative doit aussi faire face à l’émergence de nouvelles tensions macroéconomiques dans le paysage des placements. Et si nous réfléchissons à l’échelle des régions, nous voyons que de nouveaux problèmes apparaissent.

Donc, allons d’abord aux États-Unis, où évidemment nous avons eu tout un débat sur le plafond de la dette. Et en tant qu’investisseurs, nous espérons tous une résolution satisfaisante, personne ne veut voir les États-Unis faire défaut. Mais en tant qu’investisseurs, nous devons aussi reconnaître que tout accord implique un compromis. Et ce compromis peut avoir un coût, parce qu’en tant qu’investisseurs, nous aimions bien la façon, et je parle ici de façon générale, la façon dont des choses comme la loi sur la réduction de l’inflation (Inflation Reduction Act) ou la loi sur les semi-conducteurs (CHIPS Act) commençaient à orienter les flux d’investissement vers des secteurs spécifiques, ce qui contribuait probablement à remanier ces secteurs de façon très positive. Et si, à la suite d’un compromis sur le plafond de la dette, une partie de ces investissements est supprimée, cela pourrait se répercuter sur les attentes à l’égard de ces secteurs et des sociétés qui en font partie.

Et si nous parlons maintenant de l’Europe, nous observons des signes d’essoufflement de l’élan économique, en particulier en Europe centrale et en Allemagne, avec une baisse des exportations et des signaux indiquant que l’inflation s’avère plus laborieuse à éliminer du système, notamment en Europe centrale, une fois encore, et au Royaume-Uni.

Si nous passons à la Chine, la dernière fois nous avons mentionné des signes avant-coureurs de sociétés laissant entrevoir que la relance économique de l’après-pandémie s’avérait peut-être un peu plus faible que ce que les investisseurs attendaient. Je pense que cela a été confirmé par les rapports publiés par les sociétés ultérieurement. De plus, des nouvelles laissent entendre qu’une nouvelle vague de COVID-19 commencerait à émerger en Chine, ce qui pourrait entraîner des perturbations supplémentaires. Si j’essaie de réunir ces trois éléments, j’ai l’impression que le marché, de manière générale, est confronté à un rythme d’ajustement plus lent pour sortir de ce monde d’après-pandémie. Comme vous le savez, nous avons dû faire face à des chaînes logistiques perturbées, à une inflation plus élevée et à des hausses de taux d’intérêt destinées à juguler l’inflation, et nous nous dirigeons, espérons-le, vers une inflation plus modérée et un monde où les taux d’intérêt seront plus bas.

Pour les investisseurs, ce genre de nouvelle normalité est très bien accueilli, avec des prévisions générales macroéconomiques stables, une inflation jugulée et des taux d’intérêt plus bas, mais il faudrait probablement un environnement beaucoup plus propice à cette création de valeur, vous savez, la reconnaissance de cette répercussion de la valeur liée aux données fondamentales des sociétés dans les prix des actions, pour que cette création de valeur soit reconnue. Donc, ce genre de perturbation que nous voyons, ce genre de tension dans la situation macroéconomique s’avère quelque peu inutile.

Or, il n’a jamais été donné pour sûr que cet ajustement de l’après-pandémie vers une nouvelle normalité serait homogène et linéaire. Mais je crois qu’il existait l’espoir que nous serions déjà allés plus loin dans la maîtrise de l’inflation, par rapport au point où nous en sommes actuellement. Cela ne veut pas dire que l’inflation va nécessairement augmenter à partir de maintenant. Je pense que de façon générale, le marché croit que nous avons atteint le sommet, mais les banques centrales semblent découvrir que le chemin de la maîtrise de l’inflation est plus long qu’elles ne le voudraient, et cela signifie que nous pourrions voir d’autres hausses de taux d’intérêt visant à s’assurer que le travail de réduction de l’inflation est bel et bien fait.

Et pour les investisseurs, c’est en quelque sorte un obstacle, parce que les hausses de taux d’intérêt ont une incidence négative sur les valorisations et créent un certain degré d’incertitude sur le marché. Nous devrons donc être un peu plus patients, je pense, avant de parvenir à ce genre de prévisions générales macroéconomiques en vertu desquelles la répercussion de la valeur liée aux données fondamentales sur les prix des actions se déroule de façon beaucoup plus homogène et ordonnée.

Mais si nous prenons du recul et essayons de réfléchir à la vue d’ensemble, au chemin sur lequel nous sommes engagés tous ensemble, alors j’ai l’impression que la direction reste la même, parce que lorsque nous pensons aux ajustements de taux d’intérêt que le marché attend, ou à ceux qui ont été communiqués par les banques centrales, alors les hausses sont beaucoup, beaucoup plus petites qu’elles ne l’étaient auparavant. On a donc l’impression que nous approchons du moment où les banques centrales et les décideurs vont se déclarer satisfaits du niveau et de la trajectoire. Et quand cela se produira, l’incidence négative des taux élevés sur les valorisations devrait s’atténuer, ce qui apaisera l’incertitude sur le marché et, espérons-le, signifie que la répercussion de la valeur des excellentes sociétés, celles qui affichent des données fondamentales fantastiques, sur le rendement des prix des actions, pourra se dérouler d’une manière beaucoup plus homogène.

J’espère que vous avez apprécié ma présentation. J’ai hâte de vous retrouver bientôt.



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