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Par  Stephen Thariyan 26 juin 2019

Dans cette vidéo, Stephen Thariyan, Cochef, Marchés développés, BlueBay Asset Management, discute de l’évolution des marchés obligataires mondiaux et de la façon dont BlueBay a adapté ses techniques de placement au cours des cinq dernières années en vue d’exploiter le regain d’incertitude sur les marchés.

Transcription

Compte tenu de l’incertitude actuelle, quelle est votre méthode de placement relativement aux titres à revenu fixe ?

En fait, les marchés obligataires ne sont pas censés être aussi intéressants. Pendant dix ans, l’assouplissement quantitatif et les billions de dollars injectés dans les marchés ont eu pour but de stimuler la croissance mondiale et de redonner de la crédibilité aux institutions financières (dont aucune entreprise ni aucun pays ne peuvent se passer). Ces mesures ont porté leurs fruits jusqu’à un certain point. À présent, nous entrons dans une ère de resserrement quantitatif, qui réduit l’abondance d’obligations. Comme les taux montent, les rendements des titres à revenu fixe baissent et pourraient même devenir négatifs, de sorte qu’investir dans ces titres peut sembler inutile.

Ce serait effectivement le cas si le resserrement quantitatif était proportionnel à la croissance. Or, celle-ci est tout sauf vigoureuse à l’échelle mondiale et, en théorie, la Réserve fédérale américaine a suspendu ses interventions. La zone euro stagne et on craint une « japonisation » des marchés émergents. Et n’oublions pas l’éventail habituel de situations préoccupantes, comme en Argentine et au Venezuela.

Le milieu des placements est donc très incertain, et l’incertitude engendre de la volatilité. Qui dit volatilité, dit production d’alpha, ou occasions d’alpha. Les bonnes vieilles méthodes d’analyse du crédit et des sociétés demeurent pertinentes : on peut mettre en place des portefeuilles mondiaux, envisager différentes stratégies et utiliser divers instruments. Cependant, les pays agissent parfois de façon inhabituelle et la principale raison en est que les gouvernements dépendent des choix des électeurs.

Les États-Unis sont dirigés par Donald Trump ; le Royaume-Uni s’embourbe dans le Brexit ; l’Italie est menée par un gouvernement désuni qui présente des politiques plutôt disparates à la BCE ; la France est sous la gouverne d’un nouveau président qui a créé un nouveau parti ; l’Espagne doit composer avec la décentralisation. Comme on le voit, les facteurs d’incertitude ne manquent pas. Nous devons donc employer de nouvelles méthodes afin de tenter de comprendre comment tirer parti de cette incertitude.


De quelle manière les méthodes de placement ont-elle évolué au cours des cinq dernières années ?

Comme j’ai pu le constater grâce à mon expérience d’analyste du crédit, les méthodes de placement ont changé. Auparavant, on accordait beaucoup d’importance à la compréhension des entreprises et aux modèles financiers, et c’est encore le cas. Par contre, aujourd’hui, lorsque vous traversez notre salle des marchés, vous voyez que Twitter occupe autant de place sur les écrans que les outils de négociation. L’information a acquis une importance capitale. Une fois que nous comprenons comment le vote populaire influence les gouvernements, nous devons comprendre comment à leur tour ils influencent notre jugement en ce qui concerne les placements. C’est pourquoi nous parlons aux décideurs et aux banques centrales. Nous essayons de suivre l’évolution des gouvernements et la façon dont leur analyse économique est intégrée.

La majeure partie des renseignements ne provient pas des marchés financiers. Elle circule sur les réseaux sociaux et, parfois, très rapidement. Nous avons donc besoin d’instruments qui nous permettent de tirer parti de l’incertitude. Pour cette raison, la gamme d’instruments a changé et des options ont été introduites. Cependant, l’information qui circule dans les médias sociaux est souvent tout aussi importante que l’analyse financière pure.

Déclarations

Ce rapport a été fourni par RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) à titre informatif seulement et ne peut être reproduit, distribué ou publié sans le consentement écrit de RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA Inc.). Au Canada, ce rapport est fourni par RBC GMA Inc. (dont Phillips, Hager & North gestion de placements). Aux États-Unis, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral. En Europe, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (UK) Limited, qui est agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni. En Asie, ce document est fourni par RBC Global Asset Management (Asia) Limited, qui est inscrite auprès de la Securities and Futures Commission (SFC) de Hong Kong.



RBC GMA est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe RBC GMA Inc., RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., RBC Global Asset Management (UK) Limited, la division de gestion d’actifs de RBC Global Asset Management (Asia) Limited, et BlueBay Asset Management LLP, qui sont des filiales distinctes mais affiliées de RBC.



Ce rapport n’a pas été revu par une autorité en valeurs mobilières ou toute autre autorité de réglementation et n’est inscrit auprès d’aucune d’entre elles. Il peut, selon le cas, être distribué par les entités susmentionnées dans leur territoire respectif. Vous trouverez des précisions sur RBC GMA à www.rbcgma.com.



Le présent rapport n’a pas pour objectif de fournir des conseils juridiques, comptables, fiscaux, financiers, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. Le processus de placement décrit dans ce rapport peut changer avec le temps. Les caractéristiques mises de l’avant dans ce rapport visent à dresser un portrait général des critères utilisés dans la sélection des titres détenus dans les portefeuilles des clients. Les placements des portefeuilles des clients ne satisferont pas toujours tous ces critères. RBC GMA prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements à jour, exacts et fiables, et croit qu’ils le sont au moment de leur impression. RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier les renseignements, ou de cesser de les publier.



Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans le présent rapport a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantissent explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions.



Les opinions et les estimations que renferme le présent rapport représentent le jugement de RBC GMA à la date indiquée et peuvent être modifiées sans préavis ; elles sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale. Les taux d’intérêt et les conditions du marché peuvent changer.



Les rendements sont estimés à des fins d’illustration seulement et ne constituent en aucun cas des prévisions. Le rendement peut être supérieur ou inférieur à celui indiqué, et peut varier considérablement à plus court terme. Il est impossible d’investir directement dans un indice non géré.



Note sur les énoncés prospectifs
Le présent rapport peut contenir des déclarations prospectives au sujet des rendements futurs, stratégies ou perspectives, ainsi que sur les mesures qui pourraient être prises. L’emploi des modes conditionnel ou futur et des termes « pouvoir », « se pouvoir », « devoir », « s’attendre à », « soupçonner », « prévoir », « croire », « planifier », « anticiper », « évaluer », « avoir l’intention de », « objectif » ou d’expressions similaires permet de repérer les déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des incertitudes et des risques inhérents quant aux facteurs économiques généraux, de sorte qu’il se peut que les prédictions, les prévisions, les projections et les autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu’un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont mentionnés, explicitement ou implicitement, dans les déclarations prospectives. Ces facteurs comprennent notamment les facteurs généraux d’ordre économique et politique ou liés au marché du Canada, des États-Unis et du monde entier, les taux d’intérêt et les taux de change, les marchés mondiaux des actions et des capitaux, la concurrence, les évolutions technologiques, les changements législatifs et réglementaires, les décisions judiciaires et administratives, les actions en justice et les catastrophes. La liste de facteurs essentiels ci-dessus, qui peut avoir une incidence sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement ces facteurs et les autres facteurs pertinents. Toutes les opinions contenues dans les déclarations prospectives peuvent être modifiées sans préavis et sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale.