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Par  Eric Lascelles 21 septembre 2020

Eric Lascelles, économiste en chef, donne son point de vue sur les tendances macroéconomiques actuelles.

Durée : 15 minutes 07 secondes

Transcription

Quelles sont les perspectives de la reprise de l’économie mondiale ?

La COVID-19 a provoqué le plus grand déclin économique en près d’un siècle. De nombreux pays ont perdu de 10 % à 20 % de leur production économique, ne serait-ce que brièvement.

Et je suppose que la bonne nouvelle depuis, c’est que la reprise est maintenant bien entamée. En fait, elle s’est amorcée à la fin d’avril. Près de la moitié, si ce n’est pas plus, du repli économique initial a été récupérée dans de nombreux pays, y compris aux États-Unis et au Canada.

De façon générale, c’est positif et de nombreuses choses ont repris leur cours plus rapidement que prévu. Mais je dois dire qu’avec l’automne et l’hiver qui approchent, nous pensons que la reprise perdra de la vitesse.

Nous observons d'ailleurs que les États-Unis sont aux prises avec une deuxième vague du virus. Elle semble être maîtrisée, mais elle a tout de même freiné la reprise.

La zone euro vit actuellement une période très similaire, et nous devrions donc être conscients du fait qu’il existe un risque d’éclosions supplémentaires, en particulier alors que les écoles rouvrent leurs portes et que le temps devient de plus en plus froid et sec.

Bref, au final, nous nous attendons à une reprise plus lente. C’est principalement parce que les gains faciles ont déjà été réalisés. Elle est finie la période où plusieurs secteurs rouvraient chaque semaine ou chaque mois. La plupart des secteurs fonctionnent maintenant au maximum de leur capacité, voire même un peu au-dessus. À partir de maintenant, donc, la croissance viendra de l’augmentation de la productivité et de la mise en place de solutions plus créatives pour trouver un équilibre entre le virus et l’activité économique. Dans ce contexte, le taux de croissance est forcément plus lent.

Et nous savons aussi, je crois, que certains dommages économiques ne sont probablement pas encore apparus. Sur le marché du crédit, par exemple, les institutions ont pris certaines mesures, comme accorder des reports de versements hypothécaires. Or, cela ne pourra pas durer toujours. Il y aura des conséquences à ces mesures.

Nous sommes également très attentifs à l’aspect budgétaire. Les gouvernements ont dépensé des sommes colossales. Pour l’essentiel, ils ont pris des mesures très utiles, mais aujourd’hui, nous constatons que certains programmes de soutien budgétaire tirent à leur fin. Certains devront en outre cesser cette année ou après parce qu’il n’est pas possible de maintenir des déficits aussi importants.

C’est là un frein pour l’économie. On le remarque déjà aux États-Unis. Le chômeur américain moyen a déjà perdu quelques centaines de dollars par semaine. Le phénomène n’est pas aussi manifeste ailleurs, mais les programmes prendront fin les uns après les autres, ce qui entraînera aussi un certain ralentissement.

Nous prévoyons donc une reprise soutenue, mais plus lente. Ensuite, nous surveillons de très près les développements dans la fabrication d’un vaccin pour savoir quand il sera disponible à grande échelle. D’après les marchés des paris que nous suivons, le milieu de 2021 n’est pas une mauvaise estimation.

Ce serait donc en théorie le moment où les économies pourraient se normaliser entièrement et où la vie pourrait reprendre son cours. Il faut toutefois se souvenir que les économies ne se rétablissent pas complètement toutes à la fois. Selon nous, il faudra attendre encore un an. Ce ne sera qu’au milieu de 2022 que les économies retrouveront leur niveau de la fin de 2019. Et il faudra probablement attendre le milieu de 2023 pour les voir retrouver pleinement leur trajectoire antérieure. Il reste donc du travail à faire.


Quelles seront les répercussions des relations commerciales entre les États-Unis et la Chine sur la reprise économique ?

Le commerce mondial a souffert pendant la majeure partie de la décennie : les flux commerciaux ont diminué et des frictions croissantes ont miné les relations entre les pays. À ce titre, on pense immédiatement au conflit qui oppose les deux grandes superpuissances que sont les États-Unis et la Chine.

L’une des façons d’aborder la question est de reconnaître que nous sommes en présence d’une domination économique qui dure depuis très longtemps. Les États-Unis ont été le shérif incontesté de la ville, mais ils doivent maintenant partager le terrain. En effet, la Chine est elle aussi une grande puissance mondiale et tente d'exercer sa part d’influence.

Forcément, cela crée beaucoup de frictions. Et ces frictions ne s’estomperont probablement pas de sitôt. En fait, elles ne sont même pas liées à une administration particulière. L’administration en place depuis quatre ans a évidemment exacerbé les tensions avec la Chine.

Elle a installé plusieurs séries de tarifs. Des sanctions ont également été imposées à des politiciens de premier plan des deux puissances. Les activités d’un certain nombre de sociétés technologiques ont été limitées dans l’un ou l’autre pays. Les changements législatifs à Hong Kong inquiètent aussi.

Et donc, pour toutes ces raisons, la situation est encore plus tendue qu’elle l’était. La COVID-19 n’a pas aidé. Pas seulement parce que c’est peut-être en Chine qu’est apparu le virus, mais aussi parce que l’immigration mondiale et la circulation des personnes se sont presque entièrement arrêtées.

Par conséquent, la volonté de se tourner vers les chaînes logistiques domestiques et de réduire notre dépendance aux autres pays, peu importe lesquels, est encore plus forte. Bref, l’environnement commercial est particulièrement difficile.

L’élection américaine, qui aura bientôt lieu, dictera en partie la suite des choses. D’aucuns pourraient croire que les relations se réchaufferont si une nouvelle administration s’installait à la Maison-Blanche, mais je n’irais pas jusqu’à dire que la vie reviendrait à ce qu’elle était il y a quatre ans. Le monde a changé et les frictions que nous voyons perdureront à bien des égards. Bien sûr, là encore, cela dépend en partie du résultat de l’élection.

En fin de compte, les droits de douane étant plus élevés et la circulation des personnes étant limitée, et ainsi de suite, la croissance économique est au ralenti. Dans un tel contexte, l’inflation tend à augmenter. Pas dans la mesure où on l’observe à cause de la COVID-19 ; c’est encore en grande partie la principale force économique à l’heure actuelle. Mais je dirais que certains des penchants protectionnistes sont une considération secondaire et qu’à la limite, ils freinent l’économie plutôt que l’inverse.


Quelles sont les forces à l’origine de la récente progression du cours de l’or et celle-ci se poursuivra-t-elle ?

Le prix de l’or s’est redressé de façon assez marquée au cours des six derniers mois, en raison de la COVID-19 évidemment, mais il est important de réfléchir un instant à certains des facteurs sous-jacents et à certaines des raisons qui poussent le prix de l’or à la hausse.

C’est avant tout l’aversion pour le risque qui a amorcé la tendance. Quand l’aversion pour le risque augmente, les investisseurs se tournent vers la sécurité perçue de l’or. Or, il est intéressant de noter qu’il n’y a pas d’investisseurs sur le marché, pourtant fortement marqué par cette aversion pour le risque.

De façon générale, les investisseurs ont plutôt privilégié les actions ces six derniers mois, de sorte que l’argument en faveur de l’or a perdu du poids. Ce n’est plus un argument valable. Il y a plusieurs autres raisons toutefois pour expliquer pourquoi le taux actuel de l’or est justifié par rapport à sa norme historique.

L’une d’elles étant qu’il y a un risque grandissant du fait que les prévisions d’inflation commencent à augmenter, même si vous ne croyez pas qu’elle sera élevée. Le risque d’inflation élevée est plus grand que d’habitude. Que ce soit votre hypothèse de base ou non.

À l’appui de celle-ci, mentionnons le fait que les banques centrales ont imprimé beaucoup d’argent. Le niveau de la dette publique des États-Unis est assez élevé en ce moment. Les banques centrales et la Réserve fédérale américaine visent maintenant un taux d’inflation moyen, plutôt qu’un pourcentage précis. On pourrait croire qu’il s’agit d’un changement mineur, mais il indique que les banques centrales s’attendent à une inflation plus forte au cours des prochaines années. C’est donc ce genre réflexion qui a nourri l’enthousiasme pour l’or, un actif qui, historiquement, s’est bien comporté dans un contexte d’inflation élevée.

Et n’oubliez pas que dans certains portefeuilles, l’or peut remplacer les obligations. Tandis que les rendements des obligations baissaient, le coupon que l’investisseur n’obtient pas en investissant dans l’or a diminué.

Dans le même temps, il est légitime de se demander si, dans l’éventualité d’une récession ou d’une autre crise, les rendements des obligations pourraient tomber encore plus bas, sachant qu’ils sont déjà tout près de zéro. Fourniraient-elles une couverture en cas de ralentissement ? À l’inverse, l’or pourrait assez facilement poursuivre sa trajectoire ascendante. Il n’y a pas de formule magique voulant qu’en temps de crise, l’or ne puisse pas dépasser de beaucoup les 2 000 $, par exemple.

Et peut-être le dernier facteur qui favorise l’or est la faiblesse du dollar américain. C’est donc en partie une question de mécanique. Ce n’est pas que les étrangers paient plus pour l’or. C’est tout simplement qu’en dollars américains, cela semble faire plus. Pour certains, le fait que le billet vert semble avoir perdu de son lustre et peut-être même un peu perdu son statut de devise de réserve pourrait signifier que l’or en vienne à assumer en partie ce rôle.

Je ne suis pas sûr d’être d’accord avec tous ces arguments, mais je pense que plusieurs d’entre eux sont valables. L’or pourrait donc continuer à bien faire pendant un moment. Pour le long terme, gardons quand même à l’esprit que comme pour presque tous les actifs réels, le rendement réel a tendance à être assez près de zéro. Il est difficile de s’enrichir à long terme avec l’or. Bien sûr, il peut fluctuer considérablement à court terme, et il a constitué un pari gagnant au moins ces derniers mois.


Quelles sont les incidences potentielles des élections aux États-Unis sur la croissance économique et les marchés boursiers ?

Les élections américaines approchent à grands pas et la course est très serrée. À ce stade-ci, il s'agit d’un référendum sur le président actuel. C’est là-dessus que porte l’attention. Biden, le candidat démocrate, a fait profil bas, reconnaissant que c’est ainsi que les électeurs verront le scrutin.

Et quand on examine les programmes de chacun, on peut dire que celui Trump n’est pas si différent de ce que nous avons déjà vu. Il y aura peut-être d’autres réductions fiscales, mais pas de changements au-delà de ceux qui ont été effectués au cours des quatre dernières années.

Et donc, quand on compare les programmes politiques de chacun des deux candidats, il s’agit dans les faits de voir en quoi celui de Joe Biden est différent du programme du président actuel. Et c’est une question pertinente parce que les sondages indiquent que Biden est légèrement en avance et laissent entendre que les démocrates pourraient bien remporter la Chambre des représentants, le Sénat et la Maison-Blanche. Or, c’est loin d’être gagné, d’abord parce qu’il reste plusieurs mois avant le scrutin, et ensuite parce que l’opinion des gens peut changer en un instant. Mais dans tous les cas, dans ce contexte, il importe de se pencher sur le programme démocrate.

Cet examen fait ressortir un ensemble de facteurs économiques. En ce qui concerne les effets négatifs sur l’économie, nous pourrions dire que les démocrates instaureraient probablement des règles un peu plus strictes pour contrer la propagation de la COVID-19. L’économie pourrait en pâtir à court terme, ce qui limiterait l’activité dans une certaine mesure.

Le programme contient également des propositions de hausse des impôts. De façon générale, ce n’est pas de nature à favoriser la croissance. De même, il y a eu des rumeurs concernant un resserrement de la réglementation, surtout dans le secteur énergétique, mais peut-être aussi ailleurs. Il faut considérer ces rumeurs en gardant en tête que Trump est reconnu pour ses efforts de déréglementation.

Là aussi, il s’agirait de mesures pénalisantes pour l’économie. Cependant, les facteurs économiques positifs pourraient bien compenser. Ainsi, lorsque nous examinons plus particulièrement certains aspects, nous constatons que même si le resserrement des règles relatives à la COVID-19 pourrait limiter l’économie à court terme, il pourrait en fait être favorable à moyen terme, dans la mesure où un nombre moindre d’infections permettrait à l’économie de se comporter plus normalement d’ici six mois à un an. Cela contribuerait à une belle reprise.

D’aucuns pourraient dire que même si Biden propose d’augmenter les impôts, ce qui est un frein économique, le programme de stimulation budgétaire en place est en fait assez fort. On pourrait donc soutenir que les propositions budgétaires des démocrates seraient plus avantageuses pour l’économie que celles des républicains. Il faut toutefois comprendre qu’il en découlerait un niveau d’endettement supérieur, un aspect que nous n’aborderons pas en détail ici.

Ajoutons que l’environnement commercial pourrait s’améliorer un peu. Les frictions entre les États-Unis et la Chine persisteront, mais il est probable que les négociations auront un caractère plus multinational et que les tarifs douaniers baisseront un peu. Le programme démocrate prévoit aussi une augmentation de l’immigration au fil du temps. Et c’est là l’un des déterminants de la croissance économique à moyen terme.

Si on additionne tous ces facteurs, on comprend qu’une victoire démocrate pourrait avoir un effet légèrement positif sur les perspectives de croissance au cours de l’année à venir.

Toutefois, je n’irais pas jusqu’à dire que les marchés financiers arriveront à la même conclusion. Il faut savoir que les marchés se soucient particulièrement de l’impôt des sociétés. Et donc l’hypothèse que les démocrates pourraient augmenter le taux d’imposition des sociétés fait probablement de Trump le favori des marchés boursiers, sans pour autant être le favori du point de vue économique.

Là encore, bien des choses pourraient changer. L’issue dépendra largement de la composition du Congrès au lendemain du scrutin. Et bien sûr, les politiciens ne respectent pas toujours les engagements pris dans leur programme.


Quelles sont vos perspectives pour le marché canadien du logement ?

Au Canada, mais aussi ailleurs dans le monde, le marché du logement a été étonnamment solide pendant la pandémie. La vigueur des prix, le marché de la revente et l’activité immobilière en générale ont été une véritable révélation. Le marché n’a pas connu de temps d’arrêt et il est peut-être même plus vigoureux qu’il l’était avant la COVID-19. C’est sans doute une excellente nouvelle pour ceux qui bénéficient d’un marché du logement fort.

Je dirai cependant que les préférences ont changé, comme vous pouvez l’imaginer. Par exemple, les acheteurs ont privilégié les secteurs à faible densité par rapport à ceux où la population est plus nombreuse. Les appartements et les copropriétés ne sont donc pas aussi attrayants ou leur attractivité n’augmente pas au même rythme que celui observé du côté de la banlieue ou peut-être de la campagne. C’est là un des changements survenus et un facteur de différenciation constaté sur le marché du logement.

Mais je dirai ceci : nous pensons toujours qu’il existe un risque de ralentissement au cours de l’année à venir et après. Et il est difficile d’en venir à une autre conclusion quand on regarde la situation.

Le taux de chômage n’a pas été aussi élevé depuis plusieurs décennies. Le bassin de personnes capables d’acheter une maison est donc moins vaste. Le bassin de personnes susceptibles de perdre leur maison est à l’inverse plus grand. C’est préoccupant.

Ajoutons également que l’immigration est pratiquement au point mort. Et même si l’on fait preuve d’optimisme et que l’on se dit qu’elle reprendra en 2021 et au cours des années subséquentes, la demande de logements est nettement inférieure. Il ne faut pas oublier que dans la plupart des pays développés, l’accroissement de population passe essentiellement par l’immigration. Sans elle, le besoin de logements n’est pas très grand, ce qui modifie grandement la dynamique de l’offre et de la demande.

Et au Canada, nous sommes entrés dans cette pandémie à un moment où les niveaux d’endettement des ménages étaient élevés. Des Canadiens ont reporté leurs versements hypothécaires dans une proportion environ deux fois grande qu’aux États-Unis. Il y a donc une certaine vulnérabilité causée par l’endettement des ménages en particulier.

Et puis il y a d’autres facteurs moins importants, comme le fait que les étudiants poursuivent leurs études universitaires à distance et qu’ils ont moins besoin d’un appartement. Par ailleurs, comme les gens voyagent moins, l’utilisation d’appartements et de condos pour des locations sur Airbnb ou de courte durée est aussi en baisse.

Bref, il est logique d’estimer que la demande de logements faiblira. Je ne suis pas convaincu que nous verrons des gains rapides comme ceux enregistrés durant les six premiers mois de la pandémie.

Soyons clairs, nous ne croyons pas que le marché s’effondrera. Il s’agit surtout de tempérer notre enthousiasme. Nous pourrions éventuellement vivre des moments un peu plus difficiles.



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Date de publication : (15 septembre 2020)