L’économie du Canada est manifestement en perte de vitesse et de nombreux économistes s’attendent à une baisse plus marquée au deuxième semestre de l’année en cours.
Les actions américaines pourraient continuer de s’apprécier, surtout dans l’éventualité d’une diminution rapide de l’inflation et d’une réduction des taux d’intérêt par la Réserve fédérale dans un contexte de croissance économique soutenue.
Les actions européennes sont relativement attrayantes du point de vue des valorisations, les prévisions de bénéfices sont raisonnables et les signaux macroéconomiques semblent s’être stabilisés.
Les actions asiatiques ont progressé au dernier trimestre, compte tenu de la bonne conjoncture économique mondiale et du recul de l’inflation à partir de niveaux inconfortables.
La dernière année a été une période historique pour les titres à revenu fixe des marchés émergents : pour la première fois, les taux d'intérêt établis par les banques centrales étaient comparables à ceux des marchés développés.
Sommaire
Divers facteurs nous ont incités à hausser à 60 % la probabilité d’un atterrissage en douceur de l’économie américaine, que nous évaluions à 40 % au dernier trimestre. Nous entrevoyons maintenant une croissance modeste lors du premier semestre de 2024 plutôt qu’une récession.