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L’article qui suit examine la façon dont l’investisseur peut tirer profit des obligations mondiales – en particulier si elles sont couvertes contre le risque de change.

  • Depuis 2011, un portefeuille d’obligations d’État mondiales couvert en dollars canadiens a offert chaque année aux investisseurs une expérience plus douce qu’un portefeuille d’obligations du gouvernement du Canada.

  • Sur les 20 dernières années, un portefeuille d’obligations d’État mondiales couvert en dollars canadiens a affiché un taux de volatilité annualisé moindre qu’un portefeuille d’obligations d’État canadiennes.

  • L’accès au vaste marché extérieur au Canada offre des possibilités accrues de diversification – et on sait que la diversification réduit généralement le risque pour les investisseurs.

Nombre d’investisseurs ont tendance à penser qu’un portefeuille d’obligations mondiales a de fortes chances de s’avérer plus irrégulier qu’un portefeuille d’obligations canadiennes. Des obligations d’État émises dans d’autres parties du monde ne sauraient assurément pas se comporter de façon plus régulière que des émissions d’État canadiennes, a-t-on coutume de penser.
Mais est-ce vraiment le cas ?

Le graphique ci-dessous montre que, chaque année depuis 2011, un portefeuille d’obligations d’État mondiales couvert en dollars canadiens a offert aux investisseurs un rendement plus régulier (moins de volatilité) qu’un portefeuille d’obligations d’État canadiennes. Le portefeuille couvert contre le risque de change a nettement réduit les effets des soubresauts du marché – ce qu’on appelle la volatilité – au fil du temps.

De façon générale, les obligations mondiales, lorsqu’elles étaient couvertes, ont été moins volatilese

De façon générale, les obligations mondiales, lorsqu’elles étaient couvertes, ont été moins volatiles

Sources : RBC GMA et Morningstar. Volatilité sur trois ans glissants au 31 décembre 2022. Obligations du gouvernement du Canada : Indice des obligations gouvernementales FTSE Canada ; obligations d’État mondiales couvertes en dollars canadiens : Indice mondial d’obligations gouvernementales FTSE (couvert en CAD). L’écart type est une mesure du risque couramment utilisée. Il s’applique au taux de rendement annuel d’un placement pour évaluer la volatilité du placement. Il montre de combien le rendement du placement s’écarte du rendement normal prévu. Un écart type élevé indique une forte variabilité du rendement du placement.

De façon comparable, un portefeuille d’obligations d’État mondiales non couvert a affiché une volatilité annualisée de 9,4 % sur les 20 dernières années. Cette volatilité baisse toutefois de plus de moitié, à 3,4 %, lorsque le portefeuille était entièrement couvert. À titre de comparaison, un portefeuille d’obligations d’État canadiennes affiche une volatilité annualisée à long terme d’environ 4,5 %.*

Lorsqu’elles sont couvertes, les obligations mondiales tendent à afficher une volatilité moindre à long terme

Lorsqu’elles sont couvertes, les obligations mondiales tendent à afficher une volatilité moindre à long terme

Source : Morningstar Direct au 31 décembre 2022. Obligations mondiales non couvertes : Indice mondial d’obligations gouvernementales FTSE (CAD) ; Obligations mondiales couvertes en CAD : Indice mondial d’obligations gouvernementales FTSE (couvert en CAD)

* La volatilité annualisée du portefeuille d’obligations d’État canadiennes est représentée par l’Indice des obligations gouvernementales FTSE Canada sur une période de 20 ans se terminant le 31 décembre 2022.

L’Indice mondial d’obligations gouvernementales FTSE représente le marché mondial des obligations d’État. Cet énorme marché détient 1 195 obligations, pour une valeur marchande totale de près de 23 milliards de dollars US . Comme le montre le graphique ci-dessous, le Canada ne compte que pour 4,7 % des titres de dette émis dans l’économie mondiale. Les États-Unis et la zone euro en représentent la majeure partie, avec une part combinée de plus de 65 % de cette valeur. L’accès au vaste marché extérieur au Canada offre des possibilités accrues de diversification.

Le Canada n’occupe qu’une petite part du marché obligataire mondial

Le Canada n’occupe qu’une petite part du marché obligataire mondial

Source : Institut de finances internationales, en septembre 2022. Le marché obligataire comprend des titres de sociétés non financières, des titres de sociétés financières et des titres d’État. La zone euro comprend les pays suivants : Autriche, Belgique, Finlande, France, Allemagne, Irlande, Italie, Pays-Bas et Espagne. Le segment « Autres » comprend les pays suivants : Luxembourg, Australie, Suisse, Suède, Danemark, Norvège, Portugal, Grèce, Slovaquie, Nouvelle-Zélande, Chypre, Slovénie, Lituanie, Malte, Estonie et Lettonie.

Le risque et le potentiel de rendement des différents marchés obligataires de la planète peuvent varier fortement d’une région à l’autre. Le tableau ci-dessous montre combien les résultats peuvent varier grandement. À noter que les obligations d’État canadiennes sont rarement les plus performantes. Ces données montrent qu’une approche diversifiée à l’échelle mondiale des placements obligataires peut présenter des occasions de rendement supérieur.

Les obligations mondiales offrent un potentiel de rendement plus diversifié

Les obligations mondiales offrent un potentiel de rendement plus diversifié

Source : indices FTSE au 31 décembre 2022. Indices mondiaux d’obligations gouvernementales FTSE (WGBI) pour le Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon et la zone euro.

L’inégalité de la croissance économique et de l’inflation d’un pays ou d’une région à l’autre offre des occasions aux investisseurs en obligations mondiales. Les gestionnaires actifs d’obligations qui œuvrent dans l’univers des obligations mondiales et ont une bonne compréhension du contexte des politiques monétaires mondiales peuvent tirer profit d’occasions de placement pouvant offrir à la fois une protection contre le risque de baisse et une certaine croissance du capital.

Une stratégie visant à tirer profit des marchés obligataires mondiaux pourrait vous aider à réduire le risque et à accroître le potentiel de rendement. Les obligations mondiales offrent non seulement des occasions de diversification, mais aussi la possibilité d’élargir vos sources de rendements potentiels par rapport aux obligations canadiennes, ce qui pourrait vous aider à atteindre vos objectifs de placement à long terme.

Prenez contact avec votre conseiller pour savoir le rôle que peuvent jouer les obligations mondiales dans la composition d’un portefeuille obligataire diversifié

1Source : Infofiche FTSE Russell, 31 décembre 2022

Déclarations

Le présent document a été préparé par RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA) aux fins d’information uniquement. Il n’a pas pour objectif de fournir des conseils juridiques, comptables, fiscaux, financiers, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. RBC GMA prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements à jour, exacts et fiables, et croit qu’ils le sont au moment de leur impression. RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier les renseignements, ou de cesser de les publier. Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans le présent rapport a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantit explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument pas la responsabilité des erreurs ou omissions. Le présent rapport peut contenir des déclarations prospectives au sujet des rendements futurs, des stratégies ou des perspectives ainsi que d’éventuelles mesures. L’emploi des modes conditionnel ou futur et des termes « pouvoir », « se pouvoir », « devoir », « s’attendre à », « soupçonner », « prévoir », « croire », « planifier », « anticiper », « évaluer », « avoir l’intention de », « objectif » ou d’expressions similaires permet de repérer les déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes inhérents, tant sur le fonds que sur les facteurs économiques généraux, de sorte qu’il se peut que les prédictions, les prévisions, les projections et les autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu’un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives liées au fonds. Ces facteurs comprennent notamment les facteurs généraux d’ordre économique et politique ou liés au marché du Canada, des États-Unis et du monde entier, les taux d’intérêt et les taux de change, les marchés mondiaux des actions et des capitaux, la concurrence, les évolutions technologiques, les changements législatifs et réglementaires, les décisions judiciaires et administratives, les actions en justice et les catastrophes. La liste de facteurs essentiels ci-dessus, qui peut avoir une incidence sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement ces facteurs-ci ainsi que d’autres.

Dernière mise à jour le 20 04 23