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À propos de cette baladodiffusion

Dans cet épisode, Stu Kedwell, cochef, Actions nord-américaines, traite de la façon dont il équilibre le risque et le rendement dans les divers fonds qu’il gère, en période de marchés baissiers. Il fait aussi part de certaines de ses idées en vue de saisir des occasions au cours de la prochaine phase du cycle du marché. [17 minutes 09 secondes] (Enregistré le 22 juin 2022)

Transcription

Transcription

Bonjour et bienvenue à une nouvelle édition de À télécharger. Je suis votre hôte Dave Richardson pour les mardis de Stu, mais une fois de plus, il s’agira d’un mercredi de Stu. Il va falloir un moment donné qu’on s’accorde un peu mieux, Stu.

Oui, ce n'est pas comme si les jours changeaient de place d’une semaine à l’autre. Mais c’est vrai qu’on a du mal.

J’ai été plutôt occupé et j’en reparlerai dans un instant. Je suis en Colombie-Britannique, dans la partie intérieure, où je suis venu à la rencontre des investisseurs. Au fait, c’est magnifique par ici. Je ne sais pas si vous êtes déjà venu dans cette région du monde?

Oui, je suis d'accord pour dire que c’est magnifique. Il peut y faire assez chaud, si je ne m’abuse, en plein été, mais c'est vrai que c’est très beau.

Vraiment, oui. Hier soir, je m’entretenais avec un groupe d'investisseurs de ce qui se passe dans l'économie et les marchés mondiaux, et quelqu'un m’a posé cette question toute simple: vous gérez des milliards de dollars dans différents fonds, vous restez équilibré sur les marchés, voire dans le négatif, en ce moment, alors pourquoi— et je vous pose la question, Stu—, le portefeuille que vous gérez pour vos clients ne serait pas à 100% en cash, alors que vous êtes pessimiste au sujet des marchés? 100% lorsque vous êtes enthousiaste, 0% lorsque vous jugez que nous sommes dans une phase de volatilité? En tant que gestionnaire professionnel, pourquoi ne tout simplement pas faire ça comme ça?

C'est une bonne question. Quand vous regardez la volatilité que nous connaissons qui peut fluctuer en une seule journée— ne parlons même pas d'une semaine ou d'un mois—, et que vous voyez les prix augmenter, vous vous dites: si je pouvais bloquer tous ces prix, je pourrais gagner beaucoup d'argent. Et dans une certaine mesure, c’est ce que nous essayons de faire avec nos outils. Mais bien sûr, si vous vous trompez ou évaluez mal les prix, c’est le contraire qui va arriver et vous allez perdre beaucoup d'argent. C'est ainsi que je vois les choses et je peux vous donner quelques exemples au fil de ma carrière. À mes débuts, c’est tout à fait le genre de calculs que je faisais, d’un chiffrier à l’autre, en tentant d’acheter et vendre le S&P 500 sur une moyenne de huit jours, de dix jours ou de douze jours, et c’est vrai qu’il y a eu des moments où cette stratégie de trading pouvait donner des bénéfices à court terme, mais jamais vraiment de bénéfice à long terme. Croyez-moi, j’en ai fait l’essai à ce moment-là. Mon ordinateur travaillait à plein régime. Je faisais des transactions sans arrêt. Et au final, cela ne s’est jamais avéré aussi payant que ce que l'indice ou les marchés accomplissaient sur une plus longue période. Alors, j'ai en quelque sorte changé ma philosophie d'investissement. C'était il y a vingt-cinq ans. J'ai commencé à mieux suivre les comptes les plus performants et à ma grande surprise, après vingt-cinq ou trente ans, plusieurs percevaient des dividendes supérieurs au coût de base. La notion de capitalisation d’argent après impôt est devenue cruciale à mes yeux. Si je pouvais trouver une bonne entreprise qui composait l'argent contre vents et marées, et si je pouvais éviter de payer des gains en capital importants au cours d'une année donnée, alors je pouvais au final mettre plus d’argent au travail. En regardant de plus près certaines entreprises, j'ai développé une grande confiance dans leur capacité à fonctionner dans des environnements variés. Et puis— j’en ai souvent parlé par le passé—, deux articles de Warren Buffett ont eu un impact significatif sur ma carrière d'investisseur. Le premier, en 2000, lorsqu'il a déclaré que le marché boursier ne va pas disparaître quoiqu’il advienne. À ce moment-là, le marché s'échangeait à plus de vingt-cinq, voire vingt-huit fois les bénéfices. On parle toujours de cette notion de valorisation moyenne. Je me suis dit que si on avait atteint un point où le potentiel de rendement sur dix ans du marché boursier était pratiquement neutre en raison d'une valorisation trop élevée, et ce, même si nous obtenions une croissance normale des bénéfices, alors je devais procéder à un ajustement plus important du portefeuille. Et puis, le deuxième article de Buffett, en hommage à Wayne Gretzky, qui faisait la suggestion suivante: vous devez vous rendre là où se retrouvera la rondelle, pas là où elle se trouve en ce moment. C'était au moment où les actions, au plus fort de la crise financière, se négociaient à dix fois les bénéfices. À l'époque, les actions étaient bon marché et bénéficiaient de la reprise de la valorisation. Nous n'avons pas vraiment vu, depuis la bulle technologique, une période où les valorisations ont permis un tel rendement. Il y a bien eu des périodes où elles ont été inférieures à la moyenne, mais pas déraisonnables par rapport aux titres à revenu fixe. Je me suis mis à considérer ces deux facteurs. D’abord, que les sociétés de qualité trouvent des moyens de développer leurs activités au fil du temps, et les avantages de le faire. Éviter l'impôt sur les gains en capital aussi longtemps que possible était devenu une priorité pour moi. Et deuxièmement, cette notion de valorisation à long terme. C'est à ce moment-là qu’on opère un mouvement beaucoup plus important dans le portefeuille. L'autre chose dont je me souviens, c'est qu'au moment de la crise financière, nous avions levé une bonne quantité de liquidités. Deuxième grand questionnement: une possible récession qui occasionnerait une baisse temporaire des bénéfices. Ce qui, à mon avis, pourrait être le cas en ce moment. C'est très différent d'une récession où les entreprises ont besoin de capitaux au plus bas du marché. J’étais aux commandes du fonds de dividendes et nous étions certains que tout le monde allait avoir besoin de capitaux. À l'automne 2008, nous avions environ 15% du fonds en espèces, ce qui représentait environ 1 milliard de dollars à l'époque. Nous avons réussi à faire travailler environ 500 millions de dollars, ce qui était déjà bien, et lorsque le marché a baissé, nous avons gagné de l'argent sur cette position de trésorerie, mais nous n'avons jamais réussi à en faire travailler la totalité. Et le marché s'est absolument déchainé. Lorsque les écarts de crédit ont commencé à se réduire et que la Fed a commencé à injecter des liquidités sur le marché, le marché s'est déchainé et ne nous a jamais permis de complètement y revenir. Les deux choses les plus difficiles en investissement sont de vendre une action qui est en baisse— le discours change et vous vous dites, cette action va baisser et nous devons nous en débarrasser—, ou d’acheter une action qui est en hausse— le discours change aussi mais là vous trouvez que l’occasion est trop belle. Et cela se produit souvent autour des points d'inflexion du marché où vous avez ce processus de plafonnement qui, avec le bénéfice du recul, a eu lieu depuis l'été dernier. Ensuite, le processus de baisse peut être beaucoup plus violent que le processus de hausse. Le processus de plafonnement est celui où le discours change, où l'inquiétude grandit et où les marchés baissent. Nous disposons bien d'outils qui nous aident à gérer la situation, mais la baisse du marché survient normalement de manière très significative, autour de l'assouplissement des liquidités. La liquidité s'assouplit et les marchés réagissent assez favorablement. Il est parfois très difficile d'injecter de l'argent une fois que les marchés ont été forts. Vous retirez de l’argent, les marchés baissent puis remontent et reviennent au prix auquel vous avez retiré l'argent. Vous vous retrouvez à vous tourmenter d’une façon ou d’une autre. Bon, je ne sais pas si je me suis fait très clair, mais c'était une longue façon de parler des avantages fiscaux de la capitalisation, sur de longues périodes de temps avec des actions qui paient des dividendes, où nous pouvons réaffecter ce capital à des entreprises que nous pensons être sous-évaluées lorsque les dividendes ont été versés. Tout cela est devenu ma façon préférée de gérer mon compte d'un point de vue à long terme. C'est comme ça que je procède. On peut toujours se dire qu’on aurait pu faire ceci ou cela, et qu’on aurait fait mieux. C'est toujours vrai, mais à l'inverse, en faisant ceci ou cela, on aurait pu aussi faire moins bien. Voilà comment j’ai procédé.

Stu, j'étais hier soir avec un groupe de trente personnes, toutes des fans de la balado. Et ce qu’elles aiment en particulier c'est votre fil de pensée. Ce n'est pas quelque chose qui est toujours préparé, écrit ou scénarisé, mais ce qui ressort c’est votre pensée claire et définie, et pour avoir travaillé avec vous pendant si longtemps, la façon dont vous pensez à la gestion de l'argent, comment vous placez vos billes et remportez la mise. Bon, ils m'ont aussi demandé comment vous étiez dans la vraie vie. J'ai menti et j'ai dit que vous n’étiez pas si sympa que ça. Je blague. J'ai dit que vous étiez en fait plus gentil que ne le laissait paraître cette balado en raison de votre grande intelligence.

Dave, nous nous targuons de nos opinions sans compromis, alors j'apprécie votre franchise.

Oui, enfin, je tentais en fait de répondre à cette question, Stu, sans votre niveau d'expertise, en résumant le concept à ces deux mouvements extrêmes du marché, à savoir quand il rebondit depuis un creux et, dans la dernière phase supérieure, juste avant qu'il ne retombe. C'est ce que nous avons connu l'année dernière, avec une forte hausse et des rendements élevés. Puis on s’est rappelé 2009. Comme je l'ai dit, il faut revenir en arrière et regarder les gros titres. La première semaine de mars 2009, le marché a atteint son niveau le plus bas, le 9 mars 2009, après avoir baissé pendant neuf ans dans un marché baissier séculaire. Rien dans ces manchettes ne laissait penser que le marché était sur le point de rebondir comme il l'a fait. Comme vous l'avez dit, il s'est déchaîné. Et pour générer les taux de rendement supérieurs à la moyenne que l'on obtient avec les actions sur le long terme, il faut être bien présent à la sortie du creux de la vague et à la redescente depuis le sommet. On est parfois trop prudent en conduisant le navire. C'est une chose quand vous êtes dans une voiture de sport et que vous prenez le virage— mais quand vous dirigez le Titanic, comme vous le faites souvent avec tout l'argent que vous gérez, il n'est pas si facile de contourner l'iceberg qui se trouve devant. Vous devez gérer les choses très soigneusement et vous devez réfléchir à ces mouvements du marché. Passer de zéro à cent en espèces, ou entièrement investies, n'est pas nécessairement la chose à faire. Vous voulez un taux de rendement supérieur à la moyenne sur le long terme pour un niveau de risque donné. Ce n'est pas comme si vous n'alliez pas le contourner cet iceberg. Bien sûr que vous allez y arriver. Mais vous n'allez pas effectuer le virage en passant de 0 à 100% d'actions tout d’un coup. Comme vous le dites dans votre jargon, n'est tout simplement pas la façon de créer de la valeur dans un portefeuille au fil du temps.

J’ai toujours préféré Battleship à Titanic. Je me souviens qu'au moment de la crise financière, j’avais causé avec un vénérable analyste de banque qui me disait que ce genre de choses devait arriver et que ces actions allaient doubler en deux semaines. Et c'est exactement ce qui s'est passé. Je me souviens aussi très clairement d'avoir participé à une réunion avec le PDG d'une banque et d'avoir pensé: ça y est, la crise est finie. Nous remettons l’argent au travail, bien que pas à 100 cents le dollar. Première chose. Mais la deuxième chose, nous avons d’un côté une liste de critères pour lesquels nous pensons que la vente est pas mal éteinte et de l’autre, une liste de critères pour lesquels il y aura ce grand mouvement à partir du bas. L'un des éléments de cette liste est le nombre d'actions qui ont des mouvements à deux écarts types sur une journée. C'est ce qu'ils appellent une poussée d'ampleur et quand vous la voyez venir, c'est vraiment quelque chose. Cela dit, il est très difficile par la suite de vouloir acheter parce que vous avez en tête les anciens prix, mais c'est probablement le type de geste qui confirme la remontée. J’ai en tête cette analogie: vous passez devant un concessionnaire de voitures d'occasion et vous voyez les prix inscrits dans les parebrises— 12000$, 11000$, 10000$, 9000$. Chaque jour, vous passez devant et vous vous dites: wow, c’est ici que je vais faire des bonnes affaires. Puis un jour vous repassez et toutes les voitures ont disparu. Il n'y en a plus à 9000$, plus 10000$, plus à 11000$. Ou bien, on les vend à 15000$. C'est comme ça que les marchés fonctionnent. Bon, c’était la façon longue de dire que j'ai tendance à me concentrer sur ces longues périodes de doublement. J'ai tendance à me concentrer sur le bénéfice de la dernière période de doublement pour mon portefeuille. Si j'ai manqué la première période de doublement et que je n'obtiens pas la dernière période de doublement, cela aura des conséquences importantes sur mon portefeuille.

Stu, tout le monde peut aller apprécier votre historique de travail au fil des ans, en allant en ligne et regarder comment vous vous y êtes pris. Et personne ne peut contester le succès que vous avez eu au fil du temps avec cette philosophie. Et la chose qu’on pourrait dire c’est que vous n’avez jamais été entêté. Vous êtes discipliné, mais vous n'êtes pas rigide au point de ne pas faire de subtils ajustements dans ce que vous faites. Certes, vous avez pris de l’âge et de l’expérience depuis qu’on se connaît, et cette expérience vous aide à aborder chaque ralentissement économique, chaque repli du marché et chaque sommet du marché. Votre expérience est mise à profit tous les jours pour les investisseurs.

Tout à fait. Vous êtes toujours en mouvement dans la marge, vous gardez toutes les données en tête et vous êtes prêt à réagir. Mais au final, c’est ce nombre de doublements qui compte le plus à long terme.

Alors Stu, comme je le disais, de la part de tous vos fans ici en plein coeur de la Colombie-Britannique...

La chaîne météo ou le câble devaient être en panne.

Oui, difficile de croire que tant de gens nous écoutent nous deux en train de jacasser, mais c'est toujours agréable d’apprendre que les gens écoutent et apprécient nos balados. On le ferait de toute façon, que les gens nous écoutent ou non, mais ça fait du bien de savoir qu'ils le font. Et Stu, je pense que c'est beaucoup grâce à vous. Alors merci encore une fois d'avoir pris le temps d’être avec nous aujourd’hui.

Merci, Dave.

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Déclarations

Enregistré le 23 juin 2022

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