Transcription
Bonjour et bienvenue à cette édition de À télécharger. Je suis votre hôte, Dave Richardson, et voici notre premier mardi de Stu de l'année 2025. Bien sûr, il y a le réveillon du Nouvel An, les feux d'artifice, les célébrations et les bouchons de champagne qui sautent. Mais je pense vraiment que les gens devraient se concentrer sur la célébration du premier mardi de Stu de 2025, parce que c'est là que la nouvelle année commence pour vrai, Stu.
Oui, on devrait instaurer quelque nouvelle tradition. Je ne sais pas, peut-être trouver une chanson qui lui donnerait ses lettres de noblesse, n'est-ce pas, Dave ?
Oui, on peut trouver une chanson, mais il faudrait aussi trouver quelqu'un pour la chanter. Mon talent est assez limité dans ce domaine. Je fais une supposition, peut-être que vous êtes un grand chanteur, mais je pense plutôt que vous n'avez pas une grande voix vous non-plus.
Vous avez raison. Vous ne voudriez pas que je chante du tout.
Alors, on peut vous confier un rôle parlé. Ce serait passionnant. J'écoute beaucoup de rock progressif des années 60 et 70, avec ces parties parlées. C'est toujours intéressant.
C'est possible. Peut-être une émission de ce genre, avec toute une poésie infusée de citations célèbres de différents acteurs du marché boursier, et je pourrais vous les citer.
Quelle était cette émission ? Une émission policière où on chantait tout le long. Une émission policière musicale acclamée par la critique, mais pas par moi. Je n’aime pas trop écouter des gens chanter. Même les films musicaux sont difficiles à regarder. Ce qui est bien, c'est que j'ai ici mon arrière-plan açorien. Pour ce premier mardi de Stu, je vous présente ma voisine, une petite vache. Si vous regardez par-dessus mon épaule gauche, vous verrez la vache assise à l'arrière-plan. C'est ma voisine. Pas mal, comme décor, non ? Ce qui est encore plus passionnant, c'est de savoir où nous en sommes en termes de marchés à l'horizon 2025. Nous travaillons sur une série, d'ailleurs, et c'est là que je fais plaisir aux gens du marketing, Stu. Cliquez sur «s'abonner». Si vous êtes sur YouTube, ou quel que soit l'endroit où vous recevez votre balado, abonnez-vous, suivez l'émission. Nous adorons avoir plus d'auditeurs, Stu. L'année dernière, nous avons augmenté de 500 % le nombre d'auditeurs. Le saviez-vous ? Ils m'ont transmis les statistiques juste avant Noël. Nous avons augmenté de 500 %. Et ces 500 % sont tous les mères de quelqu'un, et elles aiment vous écouter. Elles voudraient que je vous laisse toute la place. Mais de toute façon, cliquez et abonnez-vous. Apparemment, la campagne de marketing que je mène ici fonctionne bien. Cliquez, abonnez-vous et suivez-nous. Donnez-nous un commentaire cinq étoiles parce que nos mères l'ont fait, et quelqu'un d'autre doit aussi le faire. Ce que nous faisons ici, Stu, c'est une série d'environ quinze vidéos dans lesquelles nous nous penchons sur 2024 et nous nous projetons en 2025, et nous demandons à tous les experts du monde entier de donner leur avis sur la question. J'ai proposé à Stu de faire cela. Il m'a dit qu’il en avait assez de regarder en arrière en 2024. Alors, regardons vers l'avenir. Nous avons un dollar qui s'effondre au Canada. Le Premier ministre a démissionné. Nous avons une série de tarifs douaniers en provenance des États-Unis. Que se passe-t-il d'autre ? C'est l'hiver, il fait froid et il y a de la neige. Cela ne rend personne heureux. Quel est ce jour de février où vous atteignez votre pic de négativité à cause du mauvais temps et du manque de lumière pendant la journée ? Bref, on met tout ça ensemble, Stu, et comment pouvons-nous être enthousiastes ou positifs, ou même nous réjouir de l'année qui arrive ?
Je pense que nous vivons une période intéressante. On a souvent dit à propos des marchés que la formule «mauvais, mais de moins en moins mauvais» est importante. Tout comme celle qui dit «bon, mais ne s'améliore pas». Et je pense que c'est peut-être ce qui se passe dans les différents secteurs des marchés de capitaux cette année. À commencer par le dollar canadien, pour lequel il est difficile d'imaginer un pire ensemble d'ingrédients pour le sentiment. Mais nous sommes à un moment où les spécialistes des devises pensent que le dollar canadien est plutôt sous-évalué. Dans ce contexte, les ingrédients sont-ils réunis pour que le ton s'améliore à l'approche de la fin de l'année ? Il y a eu des dysfonctionnements au parlement. Nous avons eu la fin d'un malaise dans le secteur de l'immobilier. Nous avons les tarifs douaniers, comme vous l'avez dit. On pourrait être tenté de penser qu'il s'agit d'un crescendo dans la négativité. Cela ne veut pas dire que l'on a touché le fond ou que l'on est sur la bonne voie. Mais lorsque nous nous trouvons dans ces situations, on peut penser à quelque chose qui pourrait s'affaiblir de 2 ou 3 %, mais qui pourrait être 5, 8, 10 % plus élevé. Nous devons commencer à réfléchir à ces situations du point de vue du risque et de la récompense. Je pense donc, en particulier pour les investisseurs canadiens, qu'il sera de plus en plus important de penser au dollar dans votre portefeuille. Il sera plus important de penser peut-être à des versions couvertes des fonds. Les Canadiens, en particulier, ont obtenu d'excellents résultats sur un grand nombre d'actions américaines lorsque celles-ci ont été spectaculaires, et le dollar a été la cerise sur le gâteau. On peut parler de «mauvais qui l’est de moins en moins», mais aussi nous demander si le «bon va devenir encore meilleur» parce que certaines de ces actions ont été spectaculaires. Et certains Canadiens vont vouloir y réfléchir dans leur portefeuille. Nous avons un peu retardé l'entrée en vigueur de la composante des gains en capital. Même s'il est tôt dans l'année, est-il possible de réfléchir un peu à son portefeuille ? Je pense que cela existe toujours.
Oui, c'est vrai. Stu, quand vous regardez le marché canadien, si nous parlons d'actions — et nous y ajoutons les États-Unis parce que vous êtes notre expert en matière d'actions nord-américaines dans l'ensemble — qu'est-ce qui vous semble particulièrement intéressant en ce début d'année et qu'est-ce qui vous inquiète un peu plus ? Je sais que si vous regardez votre propre portefeuille, vous êtes probablement assez satisfait de sa position actuelle. Où voyez-vous les vraies opportunités cette année ? Et comment vous positionnez-vous ? Comment pensez-vous traverser l'année 2025 ?
Je pense qu'il y a beaucoup de bonnes entreprises à des prix raisonnables. Et je pense que la question sera de savoir si l'économie mondiale va se porter un peu mieux. Le pétrole brut a connu une année assez difficile l'année dernière. Peut-il connaître une meilleure année 2025 ? Le gaz naturel a certainement bénéficié des températures froides dont vous avez parlé au début. Certains titres de gaz naturel semblent excellents. Peut-il y avoir un changement de perception au Canada sur la façon dont nous utilisons nos ressources en gaz naturel ? Cela pourrait être très intéressant. À la fin de l'année, certaines entreprises ont présenté des plans à deux ou trois ans qui semblent très bons pour le cours de leurs actions. Je pense à une entreprise d'aviation et d’autres. On peut se dire que les six ou sept prochains mois risquent d'être un peu plus difficiles, mais une fois que nous aurons franchi cette étape, nous entrevoyons la possibilité de réaliser d'excellents rendements. Pour ce qui est des consommateurs canadiens, ce matin, lors d'une conférence, Dave McKay, le PDG de la Banque Royale, a déclaré que chaque baisse de 25 points de base des taux d'intérêt dans ce pays représente sept milliards de dépenses discrétionnaires ajoutées. On s'est beaucoup inquiété du sort des consommateurs canadiens, mais peut-être qu'avec quelques baisses de taux, les choses pourraient s'améliorer un peu dans les six à douze mois à venir. Le chômage dans ce pays a été un peu difficile. Peut-être que certaines pressions s'atténueront au cours du second semestre de l'année sur ce front également. Lorsque nous passons en revue une liste d'entreprises moyennes, nous obtenons normalement un flux de trésorerie disponible ou un rendement du dividende courant assez bons. Nous voyons des opportunités de croissance et nous pensons que nous sommes soutenus par de nombreuses valeurs d'actifs. Nous examinons notre portefeuille et, pour reprendre les termes de Warren Buffet, que les marchés boursiers soient ouverts ou non, nous nous sentons très bien dans certaines des entreprises que nous possédons à cet égard.
Oui, et comme nous en avons parlé à plusieurs reprises, les dividendes et les actions canadiennes qui offrent d'excellentes possibilités de dividendes, certaines d'entre elles sont parmi les meilleures au monde.
C'est intéressant. À cette époque de l'année, beaucoup de gens utilisent l'année civile pour passer en revue leur plan financier. Je faisais quelque chose de similaire. Je possède le fonds de dividendes depuis près de vingt ans. Lorsque je regarde les attentes que j'avais formulées il y a vingt ans, je constate qu'elles sont largement dépassées. Il s'agit de détenir de bonnes entreprises qui vous versent de bons dividendes, et de faire croître ces dividendes au fil du temps. Il n'y a jamais de jour particulièrement extraordinaire, mais à la fin de chaque année, on a tendance à regarder le plan et à se dire qu’on est sur la bonne voie.
J'ai l'habitude de laisser cette question pour la fin, mais je vais l'introduire plus tôt cette fois-ci. Je me demande simplement si, lorsque vous avez examiné ce fonds de dividendes il y a vingt ans, et par rapport aux attentes, vous y avez simplement injecté chaque centime que vous aviez à ce moment-là et n'avez jamais rien ajouté, et vous pensez qu'il s'est mieux comporté à cause de cela ? Ou bien avez-vous adopté une approche particulière pour constituer le fonds de dividendes que vous possédez ?
Au cours des vingt dernières années, ma résolution du Nouvel An a été de procéder par placements échelonnés. C’est toujours sur ma liste, Dave.
Je sais. On pense aux gens qui vont faire du sport, qui veulent manger mieux, qui vont faire toutes ces choses. La plupart des gens n'y parviennent pas. Avec les placements échelonnés, il suffit de prendre la décision, d'appuyer sur le bouton, de l'oublier, et le tour est joué. L'argent coule à flots. Puis, comme vous l'avez dit, vous regardez en arrière vingt ans plus tard et vous vous dites : wow, je n'arrive pas à y croire.
Oui. Mais il ne faut pas oublier de se payer soi-même d'abord, Dave.
À ce propos, le marché obligataire est un autre moyen de se payer. Je pense que l'on s'attendait généralement à ce que les taux baissent partout. Comme vous l'avez mentionné, la Banque du Canada réduit ses taux, et elle a pris de l'avance sur les États-Unis dans ce domaine, ce qui a été l'un des facteurs de la baisse du dollar canadien par rapport au dollar américain. Lorsque je regarde le dollar canadien par rapport à l'Europe, il est stable. Il n'y a pas eu le moindre mouvement au cours de l'année dernière. Les taux à court terme ont baissé, mais en fait, au cours des trois derniers mois, les taux à long terme ont augmenté. C'est particulièrement le cas aux États-Unis. S'agit-il d'une mauvaise nouvelle ou d'un phénomène auquel on s'attend ? Cela affecte-t-il le marché boursier d'une manière ou d'une autre en termes de valorisation relative ? Que pensez-vous du fait que les taux à long terme aient augmenté un peu plus que ce que la plupart des gens attendaient au cours des derniers mois ?
Deux choses. La première concerne le marché obligataire lui-même. Il y a quelques années, lorsque les taux augmentaient, cela avait un impact très négatif sur les prix. Lorsque nous atteignons 4 ou 4,5 % sur les obligations à dix ans et que nous commençons à dériver de 25 points de base, l'impact n'est plus le même. 25 points de base sur 1 % représentent un changement de pourcentage beaucoup plus important que 25 points de base sur 4,5 %. Ainsi, lorsque je regarde le marché obligataire, le coupon actuel que vous recevez et le taux d'intérêt réel qui est maintenant intégré, je ne dis pas que je ne m'inquiète pas, mais il semble qu'il y ait plus de protection qu'il n'y en a eu depuis un certain temps, même si nous avons rebondi dans cette fourchette de 4 à 4,75 % sur l'obligation américaine à dix ans. Je pense donc que la protection des coupons est un peu plus intéressante que par le passé. Je pense que pour le marché boursier, si le dix ans augmentait encore de 100 points de base, ou passait à 5,5 %, cette base de rendement total serait probablement absorbée. Votre coupon paierait pour l'application du prix de l'obligation. Une hausse de 100 points de base serait probablement un peu plus problématique pour le marché boursier. Du point de vue de l'équilibre, en regardant les titres à revenu fixe, je dirais que les taux d'intérêt à long terme sont plutôt baissiers en ce début d'année, si l'on en croit les données sur le sentiment. Pour dire vrai, c'est l'inverse de ce qui se passe sur le marché des actions. Je suis un peu plus favorable aux titres à revenu fixe.
Sarah Riopelle nous parlera de la position de son portefeuille, qui est neutre depuis un certain temps. Toutes ces actions se sont très bien comportées. Les obligations se sont également bien comportées. Encore une fois, il faut se positionner aujourd'hui en fonction de ce que l'on pense être l'avenir. Les titres à revenu fixe semblent assez attrayants. Il y a encore des raisons d'investir dans différentes parties du marché boursier. Cela semble être une façon prudente de se positionner à l'heure actuelle, étant donné la situation dans laquelle nous nous trouvons et certains des risques que nous verrons à l'horizon 2025, parce qu'il y a des risques sur la table.
À chaque début d’année, toutes les statistiques indiquent qu'il y aura sûrement une correction à un moment ou à un autre. Autant s'y préparer et y réfléchir un peu. Comme je l'ai dit, certains secteurs du marché boursier sont assez optimistes. Ce n'est pas une certitude, mais il est presque probable que nous assistions à une activité corrective cette année. Nous voulons être là pour le voir et avoir de l'argent à investir lorsque cela se produira. Donc, à chaque fois que vous gérez un portefeuille, vous pouvez être neutre, vous pouvez être surpondéré, vous pouvez être sous-pondéré. Pour revenir à mes fameuses citations, j'ai accroché à mon mur celle-ci, tirée du film Butch Cassidy et le Sundance Kid, qui a toujours été un film de vacances que j'avais l'habitude de regarder avec mon père. Il y a un moment où Butch Cassidy dit : vous permettez que je bouge au moment de tirer ? Je tire mieux quand je bouge, quand je réfléchis à toute une série de scénarios. Ce sera toujours le cas. Ce sera certainement le cas pour 2025.
Nous avons parlé de l'augmentation des rendements à long terme et de ce qui se passe à court terme avec les banques centrales qui réduisent leurs taux et la Banque du Canada qui s'est montrée particulièrement agressive jusqu'à présent dans ces réductions. Nous avons donc parlé des bons et des mauvais côtés, mais l'un des autres aspects positifs est que la courbe des rendements s'accentue, ce qui est généralement un bon signe, non ?
Lorsque la courbe passe à une inversion négative ou positive, c'est une source d'inquiétude, comme nous l’avons connue l'année dernière. Aujourd'hui, l'écart entre l'obligation à deux ans et l'obligation à dix ans aux États-Unis est de près de 40 points de base. Il était de moins 40 à la même époque l'année dernière. Si vous êtes une banque, si vous êtes une société de financement, une courbe de rendement à pente positive est plutôt bonne. Elle vous permet de gagner plus d'argent. Normalement, cela signifie que l'économie commence à réagir, et c'est la raison pour laquelle la courbe de rendement présente une pente positive. Vous obtenez donc une croissance des prêts, une variété de choses. Cela peut donc être bénéfique pour les banques, entre autres. Mais cela signifie également que vous obtenez une prime de terme. Pour en revenir à cette zone, lorsque la pente était de moins 40 points de base, il n'y avait pas le même niveau d'inquiétude qu'aujourd'hui, lorsque la pente est de 40 points de base. Il y a certainement un sentiment négatif sur le marché obligataire qui pourrait fournir un petit coussin.
Nous sortons de deux très bonnes années boursières. Je viens d'ailleurs de vous envoyer un graphique. Vous le verrez dans votre boîte de réception dans une minute. Il montre les rendements du S&P 500 année par année depuis 1874. En parcourant ces rendements, qui se répartissent entre 0 et 10 %, 10 et 20 %, positifs et négatifs, vous commencez à voir qu'il n'y a pas beaucoup d’années consécutives comme celle que nous venons de vivre où vous obtenez un taux de rendement de plus de 20 %, suivies d’une troisième année. Mais ce n'est pas impossible. Nous l'avons vu dans les années 1990.
Oui, il est toujours difficile de savoir. Lorsqu'une grande partie du rendement provient de l'expansion des multiples plutôt que de la simple croissance des bénéfices, il est plus difficile de continuer à miser là-dessus. Pour obtenir un autre rendement à deux chiffres, il faudrait vraiment que la croissance des bénéfices s'accélère. Je serais plus tenté de rester assis et de dire, j'ai d'assez bons rendements de flux de trésorerie disponibles sur une variété d'actions, et je pourrais obtenir une croissance à un chiffre élevé de cette croissance de flux de trésorerie disponibles. Et c'est ainsi que, même si j'obtiens une compression des multiples, j'obtiendrai un rendement correct. Et reconnaître à l'avance qu'en raison du point de départ, le rendement sera probablement un peu plus volatil qu'il ne l'a été au cours des années précédentes.
Oui, c'est vrai. Nous en avons parlé. L'une des choses que l'on constate presque toujours, c'est que lorsque les choses deviennent chères, lorsque les valorisations sont tendues, on observe une plus grande volatilité, ce qui est l'un des avantages lorsque l'on peut acheter des choses moins chères, c'est-à-dire que l'on a plus de potentiel de hausse et que l'on peut le faire avec moins de volatilité. C'est peut-être l'année où le Canada s'impose enfin et commence à rivaliser avec les États-Unis en termes de rendement relatif. Comme vous l'avez dit, il semble que les mauvaises nouvelles concernant le Canada se succèdent pendant les vacances, ce qui est peut-être un signe que l'on se rapproche plus de la fin que du début.
C'est vrai. Même si nous sommes au début de l'année 2025. J'ai l'impression que les rôles sont en train de changer. Et c’est moi qui essaie de conclure. Je suis un débutant dans ce domaine.
Non, c'est juste vous qui confirmez à tous les auditeurs pourquoi vous êtes l'invité expert, et je ne suis que le bête animateur qui dit des choses idiotes entre chacun de vos propos intelligents.
Très drôle. Eh bien, Dave, tous mes vœux de réussite pour 2025. J'attends avec impatience tous nos mardis de Stu. Profitez bien des Açores.
L'année qui vient s'annonce spectaculaire pour les mardis de Stu. Nous venons de vivre les élections primaires de l'année dernière. Et vous savez comment on appelle ces journées ? Parce qu'elles ont lieu le mardi, les primaires, n'est-ce pas ? Ils regroupent tous les grands états clés dans le même mardi. C'est ce qu'on appelle les super mardis de Stu.
Les super mardis Stu.
Ce sera donc une année de super mardis de Stu cette année. En fait, 2025, je crois sera l'année de Stu, officiellement.
Peut-être.
Beaucoup de gens l'espèrent. Alors, Stu, merci encore. Et tous nos vœux à vous et à votre famille.