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À propos de cette baladodiffusion

Dans cet épisode, Stu Kedwell, premier directeur général, premier gestionnaire de portefeuille et cochef, Actions nord-américaines, revient sur les derniers événements liés aux marchés, dont les effets de la hausse des taux d’intérêt sur les bénéfices des banques et la réponse de l’Europe aux « sept magnifiques ».  [20 minutes, 34 secondes] (Enregistré : 27 février 2024)

Transcription

Bonjour et bienvenue à cette édition de À télécharger. Je suis votre hôte, Dave Richardson. Et c'est le mardi de Stu. Vous ai-je paru suffisamment enthousiaste, Stu? Ou dois-je encore élever le niveau?

Non, c'était parfait.

Je dois travailler l’expressivité de ma voix, le langage, l’enthousiasme dans la voix, parce que nous ne sommes pas en vidéo aujourd’hui. Je ne sais pas si on vous l’a dit, Stu, mais nos deux premières vidéos, qui en passant ont reçu des critiques élogieuses, ont fait détraquer le système qui les téléverse. Donc, pas de vidéos pendant un certain temps. Ma mère m'avait pourtant dit, Stu, que vous aviez fière allure, que vous avez l’air d’un jeune homme sympathique. Alors, voilà pour les compliments de ma mère.

Dites-lui que son chèque a été posté.

Oui, et elle va l’encaisser, c’est certain. Comme nous ne pouvons pas faire de vidéo, nous allons lancer un nouveau thème et nous l'appelons le ragoût d'investissement. Vous saisissez? C'est une idée de notre productrice Nancy. Je ne comprenais pas sa blague au début, mais il s’agit de «ragoût» comme dans «stew». Alors, un ragoût avec Stu. Parlant de ma mère, quand elle faisait un ragoût, elle prenait tout ce qu’il y avait dans le frigo et le mettait dans une casserole. Ensuite, elle sortait le Bisquick et faisait des boulettes qu’elle plaçait sur le dessus. Je mangeais les boulettes de Bisquick et presque rien du ragoût. Mais aujourd'hui, j'aime les bons ragoûts. Je n'étais qu'un enfant à l'époque. J'espère que les auditeurs apprécieront notre ragoût d'investissement.

Ok. D’accord.

Vous êtes d'accord avec ça?

Allons-nous faire la version rapide du ragoût?

Est-ce que les ragoûts ne doivent pas mijoter très longtemps? Mais on ira rapidement pour que personne ne s’endorme. Nous en sommes à deux minutes et demie et ils ont probablement déjà appuyé sur l'accélérateur pour passer à autre chose. Mais, il se passe beaucoup de choses sur les marchés. Rien qu’aujourd'hui, vous surveillez les bénéfices des banques et ils constituent toujours une bonne mesure ou un bon point de vue sur ce qui se passe. Et si nous parlons des banques canadiennes, ce qui se passe dans l'économie canadienne, l'impact de la politique actuelle des taux d'intérêt sur les banques. Et comme les banques travaillent avec nous tous, elles ont généralement un aperçu, dans leurs résultats, de la façon dont nous réagissons à l'inflation, à la hausse des taux d'intérêt, etc. Quelques banques canadiennes publient donc leurs résultats aujourd'hui. Y a-t-il quelque chose à en tirer?

Oui, en effet. Deux banques ont publié leurs résultats. Pour l'une d'entre elles, les résultats ne sont pas si clairs, car certaines divisions sont affectées par une récente acquisition. Mais d'une manière générale, votre remarque est pertinente en ce qui concerne les taux d'intérêt et l'effet de décalage de la politique monétaire. Ainsi, les taux d'intérêt plus élevés ont fini par se répercuter sur les bénéfices des banques. Et nous ne parlons pas ici de la marge d'intérêt nette, mais de la croissance des prêts et de certains impayés de crédit. À propos de ces deux éléments, la croissance des prêts est un peu faible, et en ce qui concerne les impayés, ils sont mesurés en fonction de la durée du retard — trente, soixante ou quatre-vingt-dix jours — et ces statistiques sont en train de grimper un peu. Ce qui est important, avec la façon dont fonctionne la comptabilité bancaire, c'est qu’une banque doit établir ces provisions importantes pour le crédit sur la base de ce qu'elle prévoit pour l'avenir. Les banques ont donc une certaine longueur d'avance. Elles savaient que l'économie allait ralentir et ont donc constitué des provisions. Mais vous pouvez le voir dans certains des chiffres sur les impayés qui commencent à se redresser un peu. Je pense que cela montre, pour en revenir au commentaire général sur les taux d'intérêt et du décalage de leur effet, que dans les trois ou six prochains mois, de nombreux consommateurs attendront avec impatience une baisse des taux d'intérêt. La Banque du Canada a probablement eu du succès à cet égard, et vous pouvez voir qu'une partie de cette pression pourrait être atténuée lorsque nous entamerons la deuxième moitié de l'année avec des taux d'intérêt plus bas.

Oui, nous avons effectivement reçu les chiffres de l'inflation canadienne la semaine dernière, et ils ont été inférieurs aux prévisions. Après des données sur l'inflation aux États-Unis et au Royaume-Uni, où les choses, en début de l'année, en décembre et janvier, semblaient un peu plus chaudes sur le front de l'inflation. Mais au Canada, les chiffres semblent plutôt bons.

Oui, c'est vrai. Et cela montre bien la différence avec les États-Unis, où l'on bloque son hypothèque pour une très longue période et où l'on n'a peut-être pas encore ressenti la hausse des taux d'intérêt. Au Canada, il y a bien des gens qui apprécieraient un allègement de ce côté.

Les résultats viennent d'être publiés ce matin — vous n'avez peut-être pas encore fait votre examen approfondi — mais je repense au moment où les taux hypothécaires ont atteint leur niveau le plus bas, quelque part vers le début de l'année 2021. Ou était-ce en 2022? Ils sont restés bas pendant toute cette période, en tout cas. En 2021, vous avez un prêt hypothécaire à cinq ans à 1,5 ou 1,75%, et beaucoup de gens se sont engagés à ce moment-là pour trois, quatre ou cinq ans. On commence à voir les premiers signes, et en 2025 et 2026, il y en aura d’autres. Les banques évoquent-elles les portefeuilles de crédit et du moment où les taux plus élevés entreront en vigueur? Ou bien utilisent-elles simplement le chiffre global des provisions pour pertes ou des estimations concernant la part de leur portefeuille qui sera sous-performante? Entrent-ils seulement dans ce genre de détails?

En tout cas, s’ils ne le font pas, nous allons certainement les questionner. Tout d'abord, il y a les hypothèques à taux fixe. Cinq ans nous ramènent en 2019, et les taux d'intérêt n’y étaient pas si différents d’aujourd’hui. C'est à la fin de l'année 2025-2026 que les choses vont se gâter. C'est à ce moment-là que l'on aimerait voir les taux d'intérêt baisser pour ces grandes cohortes de prêts hypothécaires qui seront renouvelés. Mais lorsque vous discutez avec les banques, vous leur demandez quel est le taux d'impayés pour les prêts à taux fixe. Il n'est pas surprenant qu'ils soient un peu moins élevés parce que les taux sont fixes, justement. Au Canada, il existe deux types de prêts hypothécaires à taux variable. L'un est à paiement fixe — vous aurez payé moins de capital à mesure que les taux augmentent et vous n'avez pas, par conséquent, nécessairement ressenti un trop gros choc. Et puis il y a les hypothèques à paiement variable, où la tension est un peu plus forte. On constate une légère augmentation des impayés dans ces domaines. Et puis il y a les prêts automobiles, les prêts sur cartes de crédit, les crédits personnels non garantis. On passe en revue toutes les catégories. Il n'est pas surprenant de constater que si le crédit n'est pas garanti ou s'il est soumis à des paiements plus élevés, les retards de paiement sont un peu plus importants qu'auparavant. Lorsque l'analyse porte sur ces grandes cohortes de prêts hypothécaires arrivant à échéance, il serait préférable que la Banque du Canada reste très vigilante afin de pouvoir baisser les taux à la fin de l'année et en 2025, lorsque la majeure partie de ces prêts hypothécaires seront renouvelés. Et lorsqu'il s'agit d'un renouvellement, nous nous concentrons tous sur l'augmentation des paiements. Les revenus sont également en hausse. Il y a eu une croissance des revenus. Tout coûte plus cher, qu'il s'agisse de l'épicerie ou d'autres choses, mais on a prévu un tampon de meilleure croissance des revenus pour quand cela se produira.

Oui, c'est quelque chose que nous continuerons à surveiller. Et les autres grandes banques publient des rapports d'ici la fin de la semaine, alors nous nous y attaquerons peut-être la semaine prochaine. Ce qui frappe cette semaine seulement, c'est la date limite pour les REER. Autrefois, cette échéance était beaucoup plus importante. Je me souviens de mon premier emploi à la banque. Je travaillais dans le centre d'appels et je me souviens du 1er mars comme étant la date limite. Sauf pour une année bissextile, le 29 février, comme cette année. Ne l'oubliez pas. Soixante jours après le début de la nouvelle année. Le 29 février. Un petit rappel de notre part. Mais on avait jusqu’à à minuit le 1er mars. Et bien sûr, nous étions tous là au centre d'appel, avec du personnel supplémentaire, et prenions les appels et les contributions jusqu'à minuit. Dans les succursales bancaires à l'époque, on voyait des hordes de gens arriver à la dernière minute pour obtenir leur feuillet d'impôt. Aujourd'hui, les choses sont beaucoup plus planifiées. Les gens utilisent généralement la méthode des placements échelonnés. Ils investissent régulièrement tout au long de l'année pour s'assurer de maximiser leur REER. Mais Stu, est-ce que le REER est toujours quelque chose que les gens devraient envisager?

Les avantages sont certainement là. Quant à moi, je vais toujours sur le site de l'ARC et je jette un coup d'œil sur le montant que je peux cotiser pour m'assurer que j’ai atteint le maximum. Vous ne serez pas surpris d'apprendre que je fais une cotisation mensuelle régulière, mais parfois, à la fin de l’année, le compte n’y est pas. Alors, je consulte le site de l'ARC, où l'on indique le montant que l'on peut verser. J'aime profiter de cette aide fiscale en déduisant la cotisation. Et oui, je pense que c'est une bonne chose à garder à l'esprit. Mais aujourd’hui on possède ces outils qui vous permettent de ne pas avoir à tout cotiser d’un coup. Vous pouvez cotiser ou investir tout au long de l'année, alors qu'il y a quelque temps, c'était beaucoup plus restreint dans le temps. Il fallait tout faire à une certaine date.

Oui, je pense que nous avons beaucoup de jeunes auditeurs à l'émission, et souvent les jeunes aiment aller trouver par eux-mêmes des façons de faire ou bien d’aller sur une plateforme qui ne leur fournit pas nécessairement tous les conseils. Si vous êtes jeune, que vous travaillez et que vous gagnez de l'argent, un REER est généralement un bon moyen de mettre vos investissements à l'abri. Il faut donc obtenir les bons conseils ou se renseigner pour savoir s'il est judicieux pour vous de cotiser, car l'une des choses dont nous avons parlé, il y a environ un mois, est l'idée de commencer tôt. La valeur de cette démarche, ainsi que la capitalisation au fil des ans. La capitalisation est encore plus efficace lorsqu'elle n'est pas imposée. C'est alors qu'elle devient très intéressante.

Oui, tout à fait. Lors de ma dernière année d'université, j'ai suivi un cours sur la fiscalité et le professeur nous avait dit que le gouvernement était notre meilleur partenaire dans tout ce que nous faisions. Votre relation avec votre partenaire est définie par des règles, et vous devez en tirer le meilleur parti possible.

Oui, c'est vrai. Et je sais que beaucoup de nos partenaires du gouvernement canadien écoutent régulièrement notre émission. On les salue. Et encore une fois, le REER, le CELI, et le nouveau CELIAPP, le compte d'épargne libre d’impôt pour l'achat d'une première propriété. Toutes ces mesures sont conçues par les gouvernements. Ils nous aident à épargner et nous permettent de mettre à l'abri une partie de cet argent pour épargner pour des besoins spécifiques comme la retraite. Ce sont de bonnes choses. Je me rends bientôt en Europe et j'ai lu ce matin un article sur les Granolas. Vous connaissez les Granolas?

Non, je ne connais pas.

Il s’agit en fait d’un acronyme. C’est l’équivalent des Sept Magnifiques en Europe.

Ah bon?

Ne me demandez pas de vous les énumérer. Dans le cas des Sept Magnifiques, je peux en compter au moins six. Si vous avez écouté notre entrevue avec Dave Lambert, à propos de ceux qui gèrent de l'argent en Europe, il a parlé des sociétés pharmaceutiques, qui représentent une grande partie des Granolas. GlaxoSmithKline, Novo Nordisk, etc. Et puis il y a les marques de mode, dont nous avons dit qu'elles ressemblaient beaucoup à des entreprises technologiques dans leur façon d'innover. Elles représentent aussi une bonne part de ces entreprises. Mais à l'instar des Sept Magnifiques aux États-Unis, si l'on considère les gains de ces onze valeurs, elles constituent en grande partie ce qui a propulsé les marchés européens vers des sommets historiques, tout comme aux États-Unis. Il s'agit d'une dynamique similaire. Un marché très étroit. Mais revenons aux Sept Magnifique. Le leader du groupe, du moins du point de vue de la performance — je pense que c'est la troisième plus grande société en termes de capitalisation boursière — Nvidia a publié ses résultats la semaine dernière. Que voyez-vous dans ces résultats? À quoi ressemblent les chiffres? Comment se comporte l'action après la publication des résultats?

Eh bien, l'action a considérablement augmenté. Il y a eu beaucoup de commentaires. Au début de ma carrière, au tournant de l'an 2000, on ne voyait jamais le rapport d'une seule société enthousiasmer autant les gens. Et c'est certainement le cas pour Nvidia. Cela a des implications pour les investisseurs à long terme. Mais à très court terme, les résultats ont été très bons. Le chiffre d'affaires a été supérieur aux prévisions et l'action a fortement progressé. Avec toutes ces discussions, ces périodes de changement, l'enthousiasme et l'excitation qu’elles causent, et les ressources et le capital qui vont être investis pour tenter de saisir cette opportunité. Ou bien, à l’inverse, la valorisation est-elle trop élevée? C'est un peu comme une balançoire, ou bien comme l’une des fables d’Ésope que Warren Buffett aime tant citer: combien y a-t-il d'oiseaux dans le buisson? Combien de flux de trésorerie y a-t-il? Quand en verrons-nous la couleur? Y en a-t-il assez pour justifier cette valorisation? La question qui se pose à des périodes comme celle-ci: les revenus et les flux de trésorerie de Nvidia seront-ils suffisants pour justifier cet enthousiasme? Le résultat pourrait être fantastique, mais ce n'est pas toujours le cas. C'est ce dont les gens débattent depuis.

Oui, et je pense que si l'on regarde l'histoire, le marché a tendance à s'emballer. Il y a de l'enthousiasme et de l'énergie qui s'accumulent et une dynamique qui s'installe sur le marché. Mais si l'on revient en arrière et que l'on regarde les grands booms précédents — les chemins de fer au début du siècle dernier, l'avènement des ordinateurs et des grandes marques dans les années 60 et au début des années 70, puis l'Internet, etc. — tous ces éléments ont joué un rôle très important du point de vue des entreprises. Mais les actions se sont emballées et ont ensuite connu une période où elles ont dû faire marche arrière. Je ne veux pas dire que c’est ce qui arrivera à Nvidia, mais il y a deux ou trois semaines, nous parlions de ces entreprises — je pense que nous parlions de Shopify, une entreprise canadienne — et comment une entreprise spectaculaire peut faire grimper une action à une valorisation très élevée, puis continuer à être spectaculaire mais sans que l’action ne puisse grimper en conséquence. La loi des grands nombres entre en jeu et ça devient tout simplement impossible.

Mon partenaire Doug dit toujours que parfois les chevaux sortent sur la piste et parfois ils restent dans l’écurie. Les bons chevaux sont nombreux. Il faut savoir faire le lien entre l’entreprise et l’action et se demander quand une bonne entreprise deviendra-t-elle une bonne action?

Sauf pour cette émission. Nos auditeurs se demandent comment il est possible de faire mieux et comment est-ce que Stu peut devenir encore plus intelligent. Mais les semaines passent et les mardis de Stu sont meilleurs que jamais. Nous sommes donc une exception à la règle. Et pour tous ceux qui possèdent Nvidia, j’espère qu’elle sera elle aussi une exception. Terminons par quelques paroles de sagesse. Après tout, c’est ce que nous faisons ici. Alors, Warren Buffett. Voilà quelqu'un que vous estimez beaucoup. Et l’autre jour, nous avons pu voir sur votre mur plusieurs de ces citations. Il vient de publier sa fameuse lettre annuelle. Y a-t-il quelque chose qui a attiré votre attention cette fois-ci et que les auditeurs pourraient apprécier ou dont ils pourraient tirer profit?

Il est impossible de ne pas être un fan de Warren Buffett quand on est passionné des marchés financiers. Il n'y a probablement pas eu de meilleur éducateur que lui sur le fonctionnement des marchés au fil des ans, et cette lettre en est un bon exemple. Elle rendait un superbe hommage à son partenaire, Charlie Munger. Même dans cet hommage, il souligne la différence entre l'achat d'une action bon marché qui ne donne pas de rendement à long terme — la valorisation peut revenir à la normale et vous gagnez de l'argent, mais vous passez rapidement à une autre — et ces entreprises qui génèrent des rendements élevés sur le capital pendant de longues périodes de temps. Et puis après son hommage, sa lettre parlait aussi de cette approche de l'investissement de l’eau sur la pierre qui a extrêmement bien profité aux actionnaires de Berkshire au fil du temps, même si les rendements ne sont pas à la hauteur de certains des premiers rendements spectaculaires qu'il a connus, dépassant ceux du S&P pendant une longue période. L'un des commentaires qui m'a semblé intéressant concerne Burlington Northern, le chemin de fer que l'entreprise possède. Comme toute chose, on focalise sur les bénéfices trimestriels. Je crois qu'il a estimé — il faisait sans doute un calcul approximatif — que le remplacement d'un Burlington Northern coûterait 500 milliards de dollars si l'on voulait l’obtenir aujourd'hui. C'est donc un excellent rappel que, lorsque nous possédons de bonnes entreprises, les chances qu'elles nous rapportent sur de très longues périodes sont très élevées.

Tout à fait. C'est ainsi qu'il faut envisager l'investissement. Et Warren place de l'argent en permanence, n'est-ce pas?

Il en a beaucoup en tout cas. Je crois qu’il a accumulé 170 milliards de liquidités. C’est ce qu’on appelle un bilan de forteresse, mais ils ont su le faire fructifier au fil du temps.

Un fervent adepte des placements échelonnés, sans doute? D'accord, Stu, c'était là notre premier ragoût de l'investissement. Dites-nous ce que vous en pensez. Abonnez-vous à notre balado. Donnez-nous cinq étoiles. Même quatre étoiles feront l’affaire. Mais nous aimons cinq étoiles. Nous visons la perfection. Si on vous laisse mettre cinq et demi, nous le prendrons aussi. Stu, merci encore pour cette discussion intéressante et nous vous retrouverons la semaine prochaine.

Super, merci Dave.

Déclarations

Enregistré le 27 février 2024

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