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Dans le contexte de la COVID-19, nous avons demandé aux membres de l’équipe de nous dire ce que sera, selon eux, l’incidence de la pandémie sur les critères ESG. Voici ce qu’ils avaient à dire.

Les critères ESG sont-ils un phénomène propre aux marchés haussiers ?

Ben Yeoh : Non. La pandémie a montré que la résilience qui découle de solides pratiques ESG, qu’elles soient attribuables à la gérance du modèle d’affaires, au capital humain ou au capital naturel, sera encore plus importante dans un marché baissier.

Neil Abbott : Aucune société à laquelle j’ai parlé durant la pandémie n’a laissé entendre qu’il faudrait faire des compromis à l’égard des principes ESG. Les avantages environnementaux qui ont découlé de la baisse de l’activité industrielle ont attiré l’attention de certaines sociétés. Nous avons également assisté à une forte augmentation des activités à caractère social dans les sociétés, comme la transformation de la production pour fabriquer de l’EPI destiné aux travailleurs de la santé, la fourniture d’hébergement aux sans-abri et le prolongement des vacances payées pour que les employés puissent surmonter le stress causé par la COVID-19 et répondre aux exigences de la pandémie. Il est intéressant de noter que la gouvernance a probablement un peu écopé du fait que les sociétés ont dû prendre des décisions rapidement afin de gérer des situations imprévues, mais elles semblent avoir agi d’une manière que la plupart des actionnaires auraient appuyée s’ils avaient été consultés.

Jeremy Richardson : On craignait que les investisseurs perdent leur appétit pour les critères ESG compte tenu des conditions difficiles du marché. Or, dans l’ensemble, il semble que les critères ESG s’en sortent assez bien. Par exemple, un indice ESG populaire, soit l’indice universel ESG MSCI Monde tous les pays, a surpassé l’indice MSCI Monde tous les pays de 1,6 % au premier semestre1, et on dit que les stratégies de placement axées sur les critères ESG ont généralement donné de bons résultats. Ce rendement supérieur est sans doute en partie attribuable à la sous-pondération des combustibles fossiles, sachant que les prix de l’énergie chutent. On a également indiqué que les méthodes d’évaluation des critères ESG semblent favoriser les sociétés qui comptent moins d’employés. Certaines personnes diront qu’il s’agit d’un biais systématique qui fausse les résultats durant une pandémie qui affecte autant les gens. Toutefois, de telles critiques ne suffisent probablement pas à remettre en question l’opinion selon laquelle les critères ESG ont largement contribué aux rendements au cours de la période.

Selon vous, en quoi la pandémie changera-t-elle l’intérêt qu’on porte aux critères ESG et ce changement sera-t-il temporaire ou permanent ?

Ben : À l’heure actuelle, on mise beaucoup sur les critères sociaux. C’est d’ailleurs ce qui ressort des conversations que nous avons eues récemment avec des sociétés comme Amazon ou UnitedHealth. Nous savons toutefois que ces sociétés n’oublient pas pour autant les critères environnementaux. Par exemple, Amazon maintient ses programmes sur les déchets alimentaires et l’action climatique, mais convient que dans l’immédiat, il faut répondre aux besoins liés à la pandémie et que pour cette raison, l’exécution de ces programmes est retardée.

Jeremy : Il ne fait aucun doute que les équipes de direction, ayant dû relever les énormes défis opérationnels que la pandémie a mis sur leur chemin, ont vu être réduite leur capacité à mettre en place certaines initiatives. La situation leur a toutefois permis d’en mettre d’autres de l’avant. L’intérêt porté aux critères sociaux est venu faire ombrage aux critères environnementaux, surtout dans un contexte où le ralentissement de l’activité économique a entraîné une baisse des émissions. Cela nous rappelle que souvent, les questions qui sont à la fois importantes et urgentes seront traitées en premier et que celles qui sont importantes, mais pas urgentes viendront après. Les investisseurs comprendront que les sociétés revoient leurs priorités au cœur de la crise, mais ils s’attendront aussi à ce que d’importants projets climatiques et environnementaux soient remis sur les rails dès que possible.

Habib Subjally : La pandémie a démontré la pertinence des critères environnementaux et sociaux sur le plan des affaires. Nous avons vu de nombreuses sociétés sacrifier les profits à court terme afin de répondre à la pandémie et ce choix a été récompensé puisque la valeur de ces sociétés a augmenté. À titre d’exemple, Amazon a sacrifié quatre milliards de dollars américains de bénéfices pour investir dans des initiatives destinées à ses clients et à ses employés, et elle a vu sa capitalisation boursière croître. La même chose s’est produite à AstraZeneca, après que la société s’est engagée à fournir, sans objectif de profit, un éventuel vaccin. La pandémie a aussi montré que les questions touchant les critères sociaux sont de plus en plus complexes et nuancées.  Nous avons vu comment la distanciation sociale en milieu de travail a mis en lumière de possibles ateliers de misère dans la chaîne logistique du vêtement ou comment la pandémie nous fait envisager autrement les problèmes de diversité qui se posent depuis longtemps. De tels problèmes peuvent considérablement faire chuter la valeur des sociétés si elles ne les traitent avec la sensibilité voulue.

Neil : La pandémie a eu pour effet de changer les systèmes de valeur de toutes les sociétés et les critères qui sont aujourd’hui si importants pour elles pourraient bien devenir une priorité permanente.

Les notes des critères ESG ont-elles été un facteur positif durant la pandémie ?

Habib : Nous n’avons pas encore vu les données à ce sujet. Selon les premières indications, il semble que oui, mais les notes des critères ESG ne font que suivre celles d’autres facteurs bien établis dont nous savons qu’ils ont bien fait durant le ralentissement, comme le facteur qualité et le faible endettement. Au fil du temps, il faudra effectuer une attribution détaillée du risque pour savoir s’il y avait un véritable alpha ou si les critères ESG n’ont fait que profiter de l’apport d’autres facteurs.

Neil : Le rendement du marché boursier est une chose, mais nous avons constaté que les sociétés qui traitent leurs employés avec respect semblent avoir été récompensées par un niveau élevé d’engagement et de souplesse pendant la pandémie.

Jeremy : L’un des effets secondaires les plus durs de la pandémie aura été la chute du prix du pétrole, l’activité économique s’étant arrêtée. Les sociétés dont les modèles d’affaires n’étaient pas axés sur les combustibles fossiles en ont bénéficié, et beaucoup de ces sociétés ont maintenant de meilleures notes environnementales. On a aussi remarqué que les notes des critères ESG semblent favoriser les sociétés comptant moins d’employés. Cela peut s’expliquer simplement par le fait que ces sociétés œuvrent dans de nouveaux secteurs, comme la technologie et le virtuel, plutôt que dans des secteurs anciens ou dans la fabrication. Toutefois, durant une crise de santé publique, ce biais involontaire peut procurer un avantage perçu, car il limite l’exposition d’une société à un problème relatif aux critères sociaux. Bien sûr, la pandémie n’est pas encore terminée et il faudra faire des recherches plus poussées avant de pouvoir dire quel aura été le véritable apport des critères ESG, mais un récent article portant sur l’expérience du marché chinois appuie ces deux observations anecdotiques. On y indique que des notes élevées pour les critères environnementaux et de gouvernance ont été favorables, peut-être en raison de l’effet de la chute des combustibles fossiles, mais que les bons résultats au regard des critères sociaux n’ont pas contribué au rendement. C’est peut-être parce que les sociétés ayant affiché un fort sens de la responsabilité sociale étaient moins susceptibles de réduire considérablement les coûts de main-d’œuvre et qu’elles ont plutôt choisi d’accepter des bénéfices moins élevés à court terme2.

La pandémie a-t-elle changé ce que les investisseurs recherchent en ce qui concerne les rapports des sociétés ?

Jeremy : Au plus fort de la pandémie, on a constaté que les investisseurs se sont concentrés sur les problèmes importants et relégué au second plan ceux qui l’étaient moins. Ils ont estimé qu’il fallait des garanties quant aux liquidités et à l’accès à ces liquidités étant donné que le confinement avait obligé possible que les sociétés veuillent adopter des structures beaucoup plus conservatrices à l’égard de nombreuses sociétés à cesser leurs activités. Les investisseurs ont aussi aimé savoir ce que faisaient les sociétés pour assurer leur propre continuité une fois la pandémie terminée, notamment la manière dont elles s’occupaient des clients, des employés et des chaînes logistiques, par exemple.  En revanche, les investisseurs ont largement accepté le fait que les sociétés avaient d’importants défis pratiques à relever pour être en mesure de publier toutes les données habituelles dans les mêmes délais. Selon moi, cela a montré que l’importance relative de certains types d’information a changé à cause de la pandémie et je suis content que l’on accorde plus d’importance à l’information sur la gérance du capital extrafinancier, comme les relations avec la clientèle et le capital humain. Espérons qu’il ne s’agira pas d’une tendance passagère.

Habib : À l’instar des équipes de direction, les investisseurs se rendent soudainement compte que les notes des critères environnementaux et sociaux sont plus étroitement liées à l’évolution de la valeur d’une société qu’ils le croyaient. Je m’attends à ce que davantage d’investisseurs interrogent les sociétés sur l’état de leur capital environnemental et de leur capital social, ce qui se traduira par une demande accrue pour d’autres formes de rapports, des rapports qui ne portent pas uniquement sur les données financières.

Neil : Il est trop tôt pour dire en quoi les rapports des sociétés seront différents, mais je crois que le soutien qu’elles auront donné à la collectivité en général pendant la pandémie sera examiné de près. Les sociétés ont l’occasion de se servir de cette période dans leurs communications pour expliquer ce qui a fonctionné, ce qui n’a pas fonctionné et les leçons qu’elles ont apprises.

La pandémie viendra-t-elle changer l’engagement des actionnaires ?

Habib : C’est à espérer. J’espère sincèrement que les actionnaires encourageront les équipes de direction à prendre des décisions qui créeront une valeur ajoutée. Certains le font déjà ; plusieurs cadres supérieurs nous ont dit que, selon eux, la pandémie est une excellente occasion de prendre des parts de marché à long terme en démontrant leur valeur commerciale aux clients et aux employés. Les bénéfices ne sont pas si importants en ce moment ; ce qui compte, c’est la façon dont vous avez soutenu vos employés et vos clients et le fait que vous ne les ayez pas escroqués.

Neil : Il est trop tôt pour le dire, mais encore une fois, les actionnaires verront de bonnes sociétés sacrifier leurs bénéfices à court terme pour protéger le bien-être à long terme de leurs actifs : les personnes, les marques, les relations commerciales, etc. C’est un élément qu’il faudra bien comprendre. De plus, les sociétés ont abordé la question de la liquidité (une question qui relève de la gouvernance, selon moi) d’une façon complètement différente durant la pandémie, et c’est un aspect sur lequel les actionnaires devront se pencher. Il est tout à fait leur bilan, compte tenu des leçons qu’elles auront tirées de la pandémie.

Jeremy : La pandémie a d’importants effets secondaires ; elle semble notamment avoir amplifié certaines des inégalités préexistantes au sein de la société. Par conséquent, les sociétés se retrouvent forcément d’un côté ou de l’autre du débat. C’est le cas même pour les plateformes de médias sociaux qui tentent de demeurer neutres ou impartiales. Nous continuons de voir un fort intérêt pour les propositions relatives au climat, mais nous croyons qu’il y en aura de plus en plus qui seront liées à la diversité et aux questions sociales. Au cours de nos conversations avec les sociétés, on nous a dit que la culture, même au sein d’une seule entreprise internationale, peut varier d’un bureau à l’autre, de sorte que la réponse à ces problèmes risque bien d’être complexe et exigera de toutes les parties qu’elles fassent preuve de sensibilité.

Croyez-vous que les structures de gouvernance changeront du fait de la pandémie ?

Neil : Pas vraiment, mais à l’évidence, certaines sociétés ont su mieux résister à la tempête que d’autres. Les conseils d’administration devraient réfléchir à cette question et, si ce n’est pas déjà fait, ajouter la planification de la résilience en cas de pandémie à leurs documents stratégiques.

Jeremy : La pandémie pourrait bien changer fondamentalement certaines de nos hypothèses sur la façon dont les sociétés devraient se financer elles-mêmes. Ce que nous considérons comme étant un « bon » bilan pourrait changer en raison de la fragilité causée par un endettement excessif et une surdistribution des bénéfices. La situation pourrait aussi amener les sociétés à revoir la façon dont elles tiennent leurs AGA. Pour l’instant, les réunions entièrement virtuelles font l’affaire, mais il faudra revenir à des réunions en personne dès que les circonstances le permettront. Ces réunions jouent un rôle important dans la responsabilisation de la direction, en particulier pour les petits actionnaires.

Luis : Beaucoup de nos sociétés nous ont fait part de leurs objectifs s’agissant de prendre les bonnes mesures. Certaines de ces mesures témoignent de la bonne gouvernance continue et viennent renforcer la mission des sociétés. À titre d’exemple, l’objectif, audacieux, de Microsoft de devenir « carbonégative » a été relégué au second plan par les engagements de la société en matière de justice sociale et par le recyclage professionnel de 25 millions de personnes pour leur permettre d’occuper un emploi de l’avenir. Il est de plus en plus évident que la gouvernance ne se limite pas à la gestion du risque : la pandémie a montré que lorsqu’une crise est combinée à un objectif clair et commun à l’ensemble d’une organisation, il peut s’agir d’une occasion pour les gens de prendre les bonnes décisions au bon moment et de créer une société résiliente et plus durable.

Qu’est-ce qui vous a le plus surpris ?

Ben : J’ai été agréablement surpris par la force du lien entre le rendement extrafinancier d’une société et sa valeur sur le marché. On a vraiment l’impression que la pandémie a mis à l’avant-scène le rôle des éléments d’actif éventuels dont nous parlons souvent.

Habib : J’ai été frappé par le manque de soutien des valorisations que nous avons observé dans certaines parties du marché. Au cours de récessions précédentes, nous avions constaté que les investisseurs se détournaient des titres tendance au profit de titres de valeur, soutenus par les dividendes ou la valeur comptable. Cette fois-ci, les facteurs liés à la valeur ont eu très peu d’influence. À mon avis, c’est parce que le marché se concentre davantage sur les actifs extrafinanciers et les passifs, qui sont souvent considérés comme étant « intangibles ». Il semble que ces facteurs aient grandement contribué au rendement, mais ils ne correspondent pas aux définitions courantes de « valeur » dans le domaine des finances.

Neil : C’est le changement dans le profil de risque de nombreuses sociétés. Par exemple, les bars, les détaillants, les restaurants et les hôtels sont certes sensibles aux cycles – c’est un élément prévisible – mais présentent habituellement un risque faible. Or, la COVID-19 a créé un environnement de demande entièrement nouveau, un environnement comme nous n’en avions jamais vu. De plus, le soutien que les gouvernements ont apporté aux sociétés a été colossal dans de nombreux territoires. On ignore encore si le recours à un tel soutien aura un coût à long terme pour les sociétés et leurs actionnaires. Enfin, la rapidité et l’ampleur de l’évolution de la situation économique dans le monde ont été sans précédent, ce qui aura probablement une incidence sur l’appétit des investisseurs pour le risque.

Jeremy : J’ai été très surpris de voir à quel point la pandémie nous a amenés à remettre en question de nombreuses hypothèses que nous avions jusque-là sur notre façon de travailler et sur le lieu de travail. L’idée de parcourir de longues distances pour rencontrer des gens dans des bureaux ne semble plus aussi naturelle ou évidente. Cela pourrait avoir des effets durables sur les habitudes de travail et sur la façon dont la société affecte les ressources, notamment en ce qui concerne la propriété, l’accès à Internet et le temps. L’immobilisme était l’un des grands défis que devaient relever les sociétés pour parvenir à une économie carboneutre. Toutefois, la pandémie constitue une cassure et représente donc, je l’espère, une occasion d’envisager de nouvelles approches.

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1. Selon les rendements cumulatifs annuels au 30 juin 2020. Rendement excédentaire calculé sur une base géométrique. Source : Morningstar Direct.
2. Voici quelques lectures intéressantes :https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3627439 https://ftalphaville.ft.com/2020/05/21/1590056178000/ESG-without-the—S-/7

Déclarations

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