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Nous vivons actuellement une révolution des objets connectés qui brouille les frontières entre le monde virtuel et le monde réel. La manière dont nous vivons, travaillons et communiquons les uns avec les autres est en train de changer radicalement.

Les possibilités sont infinies pour les millions d’utilisateurs connectés ayant à leur disposition une panoplie d’appareils intelligents dotés d’une puissance de traitement, d’une capacité de stockage et d’un accès aux connaissances sans précédent. Parallèlement, de nouvelles technologies, telles que l’impression 3D et l’Internet des objets, ainsi que de nouveaux processus fondés sur la production guidée par les données et sur l’intelligence artificielle, ont un impact majeur sur la productivité, l’emploi, la distribution des revenus et l’environnement.

Durée : 10 minutes 49 secondes

(en anglais seulement)

Transcription

Bonjour à tous et à toutes. Je m’appelle Dijana Jelic et je suis spécialiste de produit dans l’équipe Actions, Marchés émergents RBC.

Je suis ravie d’être en compagnie aujourd’hui de la gestionnaire de portefeuille Ashna Yarashi-Shah.

Au cours de ce webinaire, nous vous présenterons certaines de nos dernières recherches sur le secteur de la technologie, et en particulier sur l’incidence des changements technologiques rapides sur les critères environnement, société et gouvernance.

Depuis toujours, les percées technologiques ont entraîné des changements radicaux dans la société, de l’avènement de l’agriculture aux diverses révolutions industrielles montrées ici.

Nous vivons actuellement une révolution des objets connectés, qui peut être définie comme la combinaison de diverses technologies numériques qui brouillent les frontières entre le monde virtuel et le monde réel.

Songez notamment aux conséquences de la connexion de millions d’utilisateurs qui disposent d’une panoplie d’appareils intelligents, ou à la montée de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage automatique. Ces innovations ont été rendues possibles grâce à la croissance exponentielle de la puissance de calcul au cours des dernières décennies, une théorie désormais appelée loi de Moore.

De fait, il y a plus de puissance de calcul dans un seul téléphone intelligent aujourd’hui que dans tout le système informatique responsable de la première mission de l’homme sur la Lune en 1969. La pandémie de COVID-19 a encore accéléré l’adoption des technologies et a vraiment mis en évidence leur influence croissante dans tous les aspects de la vie quotidienne.

Les principaux bénéficiaires ont été les géants de la technologie. Parmi les dix plus grandes entreprises du monde aujourd’hui, neuf sont des sociétés de technologie. Dans ce contexte, le secteur invite à juste titre à une surveillance accrue de la durabilité et des critères ESG.

Ce qui ressort clairement des recherches que nous avons faites, c’est que la relation est très complexe. D’une part, la technologie est un catalyseur positif essentiel de l’évolution sociale, économique et environnementale, mais d’autre part, elle présente d’importants risques ESG.

Aujourd’hui, nous nous concentrerons sur deux domaines présentant une dynamique très intéressante, et qui méritent à notre avis une attention particulière. J’examinerai les liens entre la technologie et les changements climatiques et l’environnement. Mais tout d’abord, Ashna discutera de l’impact de la technologie sur le marché de l’emploi, et de ce que nous prévoyons pour l’avenir du travail dans les marchés émergents. À toi, Ashna.

L’adoption des technologies dans les marchés émergents croît depuis plusieurs années en raison de divers facteurs, comme la demande d’une connectivité accrue, l’automatisation grandissante, la hausse des salaires et le rétablissement des chaînes logistiques.

Cette tendance devrait s’accélérer au cours de la prochaine décennie, l’univers des connexions numériques devenant plus vaste et plus rapide alors que plus de poids est accordé à une connectivité omniprésente. Cette situation peut avoir un impact durable sur la croissance économique.

En fait, la relation entre la croissance économique et l’innovation technologique est bien établie par de nombreux ouvrages. Par exemple, on observe une corrélation positive entre des indicateurs économiques, comme le PIB par habitant et l’innovation technologique ou l’automatisation. Le graphique de gauche indique une relation positive entre le PIB par habitant d’un pays et son classement en matière d’innovation, tel que déterminé par l’indice mondial d’innovation. Nous avons mis l’accent sur le sous-indice de production de l’indice mondial d’innovation, qui est axé sur l’élément technologique.

Cette tendance à la numérisation repose aussi sur la révolution de la 5G, qui devrait être le catalyseur de nombreuses technologies et d’une connectivité accrue. La 5G offre avant tout des vitesses supérieures, une latence plus faible et une nette augmentation de la capacité des réseaux, autant d’éléments essentiels à une transformation numérique d’envergure et à moindre coût des entreprises.

Le graphique de droite montre que des pays émergents comme la Corée du Sud, Taïwan et la Chine mènent le déploiement de la 5G.

Non seulement l’accélération rapide des nouvelles technologies plus puissantes stimule la productivité et l’efficacité au travail, mais on observe aussi un changement drastique dans la composition de la main-d’œuvre et dans la façon dont nous travaillons. À notre avis, cette évolution fera croître la participation des femmes au marché du travail, ainsi que celle des jeunes, qui sont plus férus de technologie numérique.

Au cours de la prochaine décennie, nous prévoyons une augmentation de la part des femmes dans la population active. Dans le graphique de gauche, on peut voir que les femmes devraient obtenir plus d’emplois que les hommes d’ici 2030. Selon nous, ces gains découleront non seulement de facteurs comme l’amélioration des taux d’alphabétisation et l’urbanisation, mais aussi, entre autres, de l’expansion des technologies et de la possibilité de travailler de façon plus souple.

Selon des recherches universitaires, le PIB mondial pourrait bondir de 26 % du seul fait d’une réduction de la disparité entre les sexes dans le domaine du travail. Non seulement une participation accrue des femmes peut avoir un impact positif sur l’économie, mais les études indiquent aussi qu’elle correspond à une innovation supérieure et à un risque plus faible de suppression d’emplois en raison de l’automatisation.

De plus, les pays émergents comptent 85 % de tous les milléniaux dans le monde et 89 % des membres de la génération Z. On prévoit que la génération Z sera la plus instruite, beaucoup plus connectée et exposée à la technologie dès un jeune âge. Elle sera aussi bien placée pour tirer profit de l’avenir du travail, puisque plus de 50 % de ses membres interrogés ont dit souhaiter avoir un emploi lié aux technologies comme la 5G et l’Internet des objets au cours des cinq prochaines années.

Mais parallèlement, la génération Z privilégie nettement d’autres facteurs, comme la possibilité de travailler de façon plus souple. Cela favorisera, à notre avis, des modes de travail indépendant et d’autres domaines comme l’économie à la demande.

Ces dernières années, la prolifération des plateformes numériques a accéléré la croissance du travail à la pige ou à la demande. Les plateformes numériques transforment le travail indépendant, grâce à l’omniprésence des appareils mobiles, à l’immense bassin de travailleurs et de clients disponibles, et à la possibilité d’exploiter une mine d’informations en temps réel pour obtenir une meilleure adéquation des emplois.

Nos recherches révèlent que l’économie à la demande est un phénomène particulièrement répandu dans les pays émergents, ce qui s’explique, selon nous, par un nombre important de jeunes qui maîtrisent la technologie numérique et par une forte proportion d’emplois informels. Les travailleurs peuvent utiliser l’économie à la demande non seulement comme source principale de revenu, mais aussi y trouver un deuxième emploi pour accroître leur revenu. Il est intéressant de noter que plus de 60 % des emplois créés entre 2019 et 2020 étaient liés à un travail à la demande, ce qui laisse entrevoir une nouvelle croissance dans ce domaine au cours des prochaines années.

Merci, Ashna.

Le rôle crucial de la technologie dans la lutte contre les changements climatiques est maintenant largement reconnu. Par exemple, comme les progrès technologiques entraînent une baisse des coûts des énergies renouvelables, et que les batteries sont plus efficaces et plus abordables, l’énergie et le transport respectueux du climat sont plus accessibles.

Le graphique de gauche montre que l’énergie renouvelable devrait être la source d’énergie à la croissance la plus rapide dans les prochaines décennies, tandis que les véhicules électriques devraient représenter plus de la moitié des ventes de voitures de tourisme d’ici 2040.

Par ailleurs, l’accroissement démographique et la hausse des revenus créent une demande alimentaire sans précédent. Cette demande exerce une pression énorme sur l’environnement, car l’industrie agricole est responsable à elle seule d’environ un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Elle présente également des risques sociaux et politiques importants, puisque la majorité de la population mondiale vit dans des pays qui dépendent dans une certaine mesure d’importations alimentaires.

Heureusement, de nouvelles technologies apportent des solutions à ces problèmes grandissants. L’agriculture cellulaire en est un exemple. Le graphique de droite montre que les investissements dans ce domaine ont augmenté au cours des dernières années.

Bien que l’innovation technologique joue un rôle crucial dans la diminution des émissions de carbone, l’expansion rapide du secteur de la technologie pose ses propres défis environnementaux. La consommation d’énergie est un sujet particulier de préoccupation.

Les entreprises de technologie consomment énormément d’électricité, surtout aux fins de la production de semi-conducteurs, mais aussi de plus en plus pour les centres de données. À titre de comparaison, de tous les pays du monde, seuls les États-Unis et la Chine consomment plus d’électricité que le secteur technologique. Cette demande d’énergie ne fera que croître, car l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique exigent une puissance de calcul supérieure.

Cela dit, les entreprises technologiques sont conscientes des risques et agissent de plus en plus pour réduire leur empreinte écologique. Ce mouvement est mené par des sociétés telles qu’Amazon, Google, Facebook et Microsoft. Vous pouvez voir ici que ces entreprises figurent actuellement parmi les plus grands acheteurs d’énergie renouvelable.

L’essor du commerce électronique a eu de nombreux avantages, tels qu’une plus grande commodité et des prix plus abordables. Toutefois, il a également contribué à une croissance considérable des déchets de plastique et d’emballage.

Le graphique de gauche montre une corrélation tendancielle entre des niveaux de revenus élevés et un plus grand volume de déchets de plastique par habitant. Alors que le monde s’enrichit et que la consommation est de plus en plus portée par le commerce électronique, la menace que posent les emballages pour l’environnement est appelée à s’accroître.

Les déchets électroniques sont un autre problème majeur. En 2019, on estime que plus de 50 millions de tonnes de déchets électroniques ont été générées à l’échelle mondiale. Ce chiffre devrait grimper à 74 millions d’ici 2030. Plus de 80 % des déchets électroniques ne sont pas officiellement collectés et gérés de façon à respecter l’environnement. Et les déchets électroniques contiennent un certain nombre de substances toxiques qui représentent un risque important pour l’environnement et la santé.

Nous espérons que cette analyse vous a intéressé. Notre principal constat est que le lien entre la technologie et les critères ESG est très complexe et qu’il faut en évaluer soigneusement l’importance pour chaque pays, entreprise et sous-secteur.

Pour de plus amples renseignements, parcourez le site de l’équipe Actions, Marchés émergents, RBC ou communiquez avec votre représentant RBC local.


La pandémie de COVID-19 a accéléré la transformation en faisant augmenter le rythme d’adoption des technologies pour une vaste gamme d’applications. Elle a également creusé l’écart entre les gagnants et les perdants, les géants de la technologie figurant parmi les principaux bénéficiaires de la pandémie, alors que d’autres entreprises ou secteurs en ont souffert.

Nous avons également constaté une sensibilisation accrue des consommateurs et des investisseurs aux questions environnementales et sociales, ce qui pousse les gouvernements et les entreprises à agir. Les fonds mondiaux qui appliquent les critères environnement, société et gouvernance (ESG) ont attiré des flux de près de 350 milliards de dollars américains l’an dernier, comparativement à 165 milliards de dollars américains en 2019.

À mesure que la révolution technologique progresse et que les principaux bénéficiaires gagnent en importance, une attention grandissante sera accordée à la durabilité et aux critères ESG. Dans le présent rapport, nous examinons les principales occasions et les principaux défis liés à l’ESG qui découlent de l’expansion rapide du secteur de la technologie. Ce rapport fait clairement ressortir que le lien est complexe et qu’il faut en évaluer soigneusement l’importance pour chaque entreprise, pays et sous-secteur.

Lire le rapport intégral (en anglais seulement) ou lisez plus de perspectives de l’équipe des placements Actions, Marchés émergents RBC.

Date de publication originale : 21 mars 2021

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