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La conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2021 (COP26) a réuni des Parties provenant de 197 pays dans le but d’accélérer la lutte contre les changements climatiques et d’atteindre les objectifs établis dans l’Accord de Paris et la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Les gouvernements ont pris des engagements importants à la COP 26, mais il reste à voir si ces engagements donneront lieu à l’établissement de cadres, de politiques et de règlements gouvernementaux et, le cas échéant, quelle forme ils prendront. Le plus important point à retenir de la COP26 est sans doute la direction claire qu’il faut suivre en matière de changements climatiques : atteindre un bilan de zéro émission nette d’ici 2050 ou avant. La vitesse, le moyen et le chemin à emprunter, eux, sont moins évidents.

La communauté financière est appelée à jouer un rôle important dans la transition vers une économie à zéro émission nette. À l’avenir, les gestionnaires d’actifs concentreront leurs efforts à mesurer et à déclarer les émissions découlant d’activités de prêt, à échanger avec les émetteurs pour accélérer la réalisation des plans et des objectifs de transition zéro émission nette, et à œuvrer auprès d’investisseurs institutionnels afin de les aider à atteindre leurs objectifs climatiques.

RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) souscrit à l’objectif mondial de zéro émission nette en 2050 ou avant. Nous reconnaissons aussi la nécessité d’assurer une transition judicieuse et ordonnée vers l’élimination des émissions nettes qui favorise la prospérité économique. Découvrez nos objectifs de carboneutralité et les engagements et mesures que nous prenons pour les réaliser ici.

5 points à retenir de la conférence sur le climat COP26

  1. Pour la première fois, les engagements des pays nous rapprochent de notre objectif de limiter le réchauffement climatique sous la barre des 2oC. Les engagements pris avant la COP26 visaient alors 2,7oC.1 Cependant, selon l’Agence internationale de l’énergie, si toutes les promesses en matière de climat annoncées à ce jour sont respectées intégralement et dans les délais, nous pourrions arriver à limiter la hausse des températures mondiales à 1,8 °C d’ici 2100.2 Bien que la réalisation des objectifs climatiques est loin d’être courue d’avance, il s’agit de la première fois que des engagements nous placent en position d’atteindre une température mondiale sous les 2oC. Par ailleurs, il est essentiel de concrétiser les engagements des pays grâce à des plans de transition par secteur, des politiques d’État et des mesures concrètes.
  1. Le méthane a occupé le devant de la scène : plus d’une centaine pays ont signé l’engagement mondial sur le méthane.3 Le méthane est l’un des gaz à effets de serre les plus puissants. Par conséquent, si nous parvenons à réduire les émissions mondiales de méthane d’au moins 30 % d’ici 2030 comme promis, nous pourrions observer une réduction de 0,2 % du réchauffement planétaire d’ici 2050.4 Parmi les signataires de l’entente se trouvent les États-Unis, l’Union européenne, le Canada et le Brésil. Cependant, les grands émetteurs de méthane, comme la Chine, l’Inde et la Russie, n’ont pas suivi le mouvement. Les émissions de méthane proviennent principalement de la production et du transport du charbon, du gaz naturel et du pétrole, ainsi que de l’élevage et d’autres pratiques agricoles, et de la décomposition des déchets organiques dans les sites d’enfouissement.5 Sachant que le méthane produit 80 fois plus de chaleur que les émissions de dioxyde de carbone et subsiste moins longtemps dans l’atmosphère, les mesures visant à réduire les émissions de méthane auraient un effet plus rapide dans la lutte contre le réchauffement climatique.
  1. Un nombre surprenant de pays ont signé un engagement visant à enrayer la déforestation. Plus d’une centaine de pays, dont le Brésil, la Chine, la Colombie, le Congo, l’Indonésie, la Russie, le Canada et les États-Unis, se sont engagés à mettre fin à la déforestation d’ici 2030.6 Cet engagement comprend une promesse de 19,2 milliards de dollars américains pour aider les pays en développement à restaurer les terres dégradées, dont 1,5 milliard de dollars américains pour protéger le bassin du Congo.7 Les forêts jouent un rôle crucial dans l’atteinte des objectifs climatiques, car elles contribuent à réguler les écosystèmes et peuvent réduire les incidences matérielles des changements climatiques. Le rôle que joue la nature dans l’adaptation aux changements climatiques et l’atténuation de leurs effets suscite de plus en plus d’intérêt et a d’ailleurs fait l’objet de plusieurs discussions lors de la COP26. Nous pouvons donc nous attendre à ce que les risques liés à la nature, tels que la déforestation et la perte de biodiversité, soient au cœur des préoccupations à l’avenir. Il en va de même pour les solutions vertes, qui devraient aussi susciter un intérêt grandissant. Voir Établir des liens : biodiversité et changement climatique.
  1. La question des subventions aux combustibles fossiles et au charbon s’est imposée dans le nouveau Pacte de Glasgow sur le climat. Annoncé un jour après la fin prévue des négociations officielles, le Pacte de Glasgow sur le climat a été adopté par les 197 pays participants.8 C’est la première fois qu’un accord fait référence au charbon et à l’objectif de réduire la production d’énergie au charbon, une source à forte intensité de carbone. L’accord mentionne également l’objectif d’éliminer les subventions pour les combustibles fossiles et encourage les pays à revoir et à renforcer leurs engagements climatiques en 2022 en vue de limiter le réchauffement climatique à 1.5oC. Malgré un consensus général, la mention d’une « réduction progressive » du charbon plutôt que d’une « élimination progressive », ainsi que la nécessité d’investir dans l’adaptation aux changements climatiques ou les « pertes et dommages » subis dans les pays en développement, resteront au cœur des discussions à l’avenir.9
  1. Une réglementation concernant les marchés volontaires des émissions de carbone a enfin été instaurée. Un accord sur les règles encadrant le commerce international d’unités de réduction des émissions (appelées crédits carbone) a finalement été conclu après six ans de négociations. Parmi les principaux points de l’accord figurent : la limitation de l’utilisation des crédits carbone créés par l’intermédiaire du mécanisme pour un développement propre des Nations Unies ; l’établissement d’un tarif fixe sur les échanges de droits d’émission afin de générer des fonds pour l’adaptation aux changements climatiques dans les pays en développement ; et la possibilité pour les pays d’utiliser les unités de réductions des émissions associées à des projets pour atteindre leurs objectifs climatiques nationaux ou de les vendre ailleurs.10 La mise en place d’une réglementation encadrant les marchés volontaires du carbone constitue une étape indispensable qui servira de base à la finalisation d’autres détails du « Règlement de Paris », dans lequel sont décrites les modalités et les lignes directrices permettant le fonctionnement de l’Accord de Paris.11

RBC GMA appuie l’objectif mondial de zéro émission nette d’ici 2050. Nous continuerons de respecter les engagements et mesures mentionnés dans notre objectif de carboneutralité. Pour y parvenir, nous prenons en compte les impacts financiers des changements climatiques dans notre méthode de placement, nous mesurons et surveillons la conformité des émetteurs en matière de carboneutralité, et nous effectuons des communications suivies avec ceux pour lesquels le climat représente un risque financier majeur s’ils ne disposent pas de cibles et de plans d’action. En ce qui a trait à nos propres activités, nous nous engageons à maintenir un bilan carbone nul, comme nous l’avons fait chaque année depuis 2017. Étant donné que nous appuyons officiellement le GIFCC, nous croyons qu’il est primordial de divulguer en toute transparence les risques et occasions liés au climat et de présenter des renseignements détaillés concernant les changements climatiques dans notre Rapport Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques 2020.

Renseignez-vous sur l’investissement responsable à RBC Gestion mondiale d’actifs.

1. « À quelques jours du sommet de la COP26, les engagements climatiques des pays mis à jour sont loin d’être suffisants, mais les engagements en… », Programme des Nations Unies, 26 octobre 2021 (Lien)
2. « COP26 climate pledges could help limit global warming to 1.8 °C, but implementing them will be the key », Agence internationale de l’énergie (AIE), Dr Fatih Birol, 4 novembre 2021 (Lien)
3. « More than 100 countries join pact to slash planet-warming methane emissions », Reuters, 2 novembre 2021 (Lien)
4. Évaluation mondiale du méthane : avantages et coûts de l’atténuation des émissions de méthane, Mai 2021, Programme des Nations Unies pour l’environnement (Lien)
5. « Overview of greenhouse gases », Agence des États-Unis pour la protection de l’environnement (Lien)
6. « Glasgow leaders’ declaration on forests and land use », 2 novembre 2021, Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques au Royaume-Uni 2021 (Lien)
7. « At COP26, Canada joins more than 100 nations in pledge to end deforestation by 2030 », 2 novembre 2021, The Globe and Mail (Lien)
8. « COP26 keeps 1.5 alive and finalises Paris Agreement », 13 novembre 2021, Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques au Royaume-Uni 2021 (Lien)
9. « Glasgow Climate Pact: Leaders welcome COP26 deal despite coal compromise », 14 novembre 2021, The Guardian (Lien)
10. « COP26 : Nations strike deal on international carbon markets at Glasgow summit », 14 novembre 2021, S&P Global Platts (Lien)
11. « Collaboration – The Paris Rulebook », consulté le 16 novembre 2021, Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques au Royaume-Uni 2021 (Lien)

Déclarations

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Date de publication : (18 novembre 2021)