{{r.fundCode}} {{r.fundName}} {{r.series}} {{r.assetClass}}

Découvrez la nouvelle expérience numérique de RBC iShares.

Vous y trouverez tout ce qui concerne les FNB : stratégies de placement, produits, perspectives et plus encore.

.hero-subtitle{ width: 80%; } .hero-energy-lines { width: 70%; right: -10; bottom: -15; } @media (max-width: 575.98px) { .hero-energy-lines { background-size: 200% auto; width: 100%; } }

Les impacts économiques du changement climatique sur certains marchés, régions et placements sont complexes, variés et incertains. Toutes les entreprises, peu importe l’industrie, le secteur ou leur situation géographique, seront exposées aux risques et aux occasions liés au climat, quoiqu’à des degrés divers et de différentes manières.

L’évolution des politiques, des marchés et des technologies peut faire augmenter la demande de produits alimentaires plus durables par les consommateurs et perturber les pratiques agricoles et les méthodes de production alimentaire en vigueur. À long terme, les changements climatiques entraîneront une baisse des rendements des cultures dans certaines régions et une augmentation des rendements dans d’autres. Ils entraîneront également des fluctuations des coûts d’exploitation.

Le renforcement de la réglementation sur le carbone entraînera une augmentation des coûts liés à la conformité. Le soutien stratégique aux produits de substitution, la diminution de la demande de certains types de combustibles dans le monde, l’augmentation des coûts de production et la chute des prix peuvent entraîner des dévaluations et le délaissement des actifs. Parmi les occasions figure un accroissement du financement et des investissements destinés aux technologies à faibles émissions de carbone, au stockage de l’énergie, aux énergies renouvelables et aux carburants de remplacement.

Les changements climatiques auront une incidence sur les saisons de croissance et les rendements, et la gamme naturelle de parasites des arbres s’élargira (p. ex., le dendroctone du pin ponderosa), entraînant ainsi une augmentation des coûts et une perte de production. Les occasions comprennent le rôle des forêts comme puits de carbone, l’utilisation accrue du bois comme matériau de construction dont la production émet peu de carbone, et l’avantage concurrentiel potentiel découlant des effets de la tarification du carbone sur les matériaux dont la production génère beaucoup d’émissions.

Les dommages causés aux actifs des entreprises et la perturbation des chaînes d’approvisionnement par les événements climatiques entraîneront une augmentation des coûts d’exploitation et une réduction de la capacité de production et des revenus, ainsi qu’une possible hausse des primes d’assurance ou des cas de non-assurabilité. L’accroissement des investissements dans les technologies à faibles émissions de carbone et les nouveaux produits ou marchés est au nombre des occasions offertes.

Les nouvelles normes de construction et d’efficacité énergétique nécessiteront des investissements de capital supplémentaires. Les phénomènes météorologiques endommageront les actifs et pourront entraîner une hausse des primes d’assurance ou des cas de non-assurabilité. Les occasions comprennent les investissements dans les infrastructures et les bâtiments, et dans la construction tenant compte des stratégies d’adaptation au climat, afin d’améliorer la résistance des bâtiments (p. ex., protection contre les inondations, systèmes mécaniques mobiles).

Le renforcement de la réglementation sur le carbone entraînera des coûts de conformité plus élevés pour les industries à fortes émissions de carbone (p. ex., l’acier). La disponibilité des ressources, le stress hydrique et les dommages causés aux actifs des entreprises par les événements climatiques se traduiront par une hausse des coûts d’exploitation. La hausse de la demande de métaux qui alimentera une économie à faibles émissions de carbone (p. ex., le lithium, le zinc, l’aluminium pour les piles) fait partie des occasions.

La hausse du prix des carburants entraînera une augmentation des frais d’exploitation et un regain d’intérêt pour les nouvelles technologies. Des plans visant à supprimer progressivement l’utilisation des moteurs à combustion interne ont été annoncés pour certaines grandes économies. L’accroissement des investissements publics et privés dans les technologies à faibles émissions de carbone pour les transports publics, ainsi que les véhicules électriques et autonomes fait partie des occasions.

Engagement de la Banque Royale du Canada

Les changements climatiques font partie des questions urgentes de l’heure. Guidés par notre raison d’être – contribué à la réussite des clients et à la prospérité des collectivités – nous tracerons la voie à suivre pour bâtir un avenir plus inclusif et durable.

Engagements climatiques de RBC

Rapport Action climatique : Une analyse approfondie de la lutte climatique au Canada et de l’état de préparation du pays à des normes climatiques plus rigoureuses.

Rapport Action climatique 2024 de RBC

Déclarations

RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA Inc.), RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., RBC Global Asset Management (UK) Limited, la division de gestion d’actifs de RBC Global Asset Management (Asia) Limited, qui sont des filiales distinctes mais affiliées de RBC.


Par souci de clarté, le présent document ne fait pas mention de RBC Gestion d’actifs Indigo Inc.