Les analystes s’attendent à ce que l’économie canadienne progresse de 0,9 % en 2024 et de 2 % en 2025. Quant à la Banque du Canada, elle est légèrement plus optimiste et prévoit une croissance de 1,2 % en 2024, conséquence de l’amélioration des dépenses des consommateurs et des entreprises, suite à la baisse des coûts d’emprunt et à la hausse des exportations.
Le S&P 500 ayant progressé de 19,5 % depuis le début de l’année et s’approchant de son sommet historique, il semble prudent d’examiner les récentes fluctuations du marché, d’évaluer les derniers résultats financiers et d’envisager les répercussions potentielles de la diminution des taux d’intérêt.
Tant qu’un gouvernement ne sera pas formé, nous croyons que les marchés boursiers français demeureront probablement parmi les plus risqués d’Europe.
Nous prévoyons une amélioration du PIB de la région d’ici la fin de l’année et en 2025, sous l’effet d’une demande intérieure stable et des avantages que les exportateurs asiatiques tireront d’une demande mondiale robuste pour les biens de consommation.
Nous nous attendons à ce que la relation entre les actions de marchés émergents et de marchés développés se rétablisse dans les années à venir, à mesure que la composition des marchés reviendra à un état plus « normal ».
Sommaire
L’intense pression économique exercée par les taux d’intérêt élevés s’estompe et un allégement est en vue, car la réduction des pressions inflationnistes a ouvert la voie à un assouplissement des conditions monétaires par les banques centrales.