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Pourquoi les portefeuilles de titres à revenu fixe RBC ont-ils été créés ?

Nous avons créé les portefeuilles de titres à revenu fixe en réponse aux difficultés qu'éprouveront encore très longtemps la plupart des investisseurs sur les marchés des titres à revenu fixe. Les rendements en revenu sont maintenant très faibles et ils monteront sans doute au fil des années - peut-être même des décennies ou sur une plus longue période encore - à mesure que les taux d'intérêt remonteront à leur norme historique. Les rendements que vous obtiendrez pendant cette période seront probablement inférieurs à ceux que vous avez prévus dans les plans d'épargne, alors comment faire pour les améliorer ? La manière traditionnelle d'obtenir des rendements supérieurs aux rendements en revenu consiste à prévoir les variations du taux d'intérêt : vendre les obligations avant qu'elles baissent, les acheter avant qu'elles montent... mais, d'après notre analyse, cela en fait une source de rendement vraiment très peu fiable. On obtient une source de rendement plus prévisible et plus stable si l'on accepte un degré de risque plus élevé dans un portefeuille de titres à revenu fixe. Alors, plutôt que de tout investir dans des obligations d'État, pourquoi ne pas combiner ces placements à quelques obligations provinciales ou même à des titres de qualité ou encore, à plus petite échelle, à des titres à rendement élevé, des titres de marchés extérieurs, peut-être bien des titres d'emprunt des marchés émergents, des titres d'emprunt des marchés émergents libellés en monnaie locale ? Il existe une grande variété de primes de risque, que l'on peut combiner. Cela permet de hausser les rendements. Le portefeuille comporte alors plus de risques, mais une combinaison qui respecte les principes de mathématiques financières ou d'optimisation peut procurer de meilleurs rendements tout en diminuant la volatilité, et c'est, en fait, ce qu'on veut.


Pourquoi les portefeuilles à multiples stratégies de placement en titres à revenu fixe sont-ils si importants de nos jours ?

Les titres à revenu fixe ne sont plus ce qu'ils étaient il y a quinze, vingt, ni même dix ans. Depuis le début de ma carrière, ils ont considérablement évolué. Je dirais que ce changement est attribuable à trois principaux facteurs que je vais expliquer. D'abord, il y a eu une croissance de l'offre de titres de créance, surtout à cause des programmes d'assouplissement quantitatif appliqués depuis la crise financière, mais, rappelez-vous que les taux d'intérêt étaient bas même avant cela. Si je regarde comment l'offre mondiale de titres de créance a évolué au cours des quinze dernières années, de 2003 à 2018, je constate qu'elle est passée de 100 billions de dollars environ à 250 billions de dollars. Le volume de l'offre est donc un facteur expliquant ce changement. L'autre facteur de changement est une augmentation du nombre d'émetteurs à la faveur de la faiblesse des taux d'intérêt. L'indice des titres d'État des marchés émergents, qui comprenait 32 pays en 2003, en compte aujourd'hui 67. Il s'agit d'un gigantesque élargissement de l'ampleur de l'indice. Et cela ne concerne que les titres d'État, mais il en va de même pour les titres de sociétés. Et finalement, au cours des 15 dernières années et surtout des 10 dernières, l'augmentation des données disponibles et de la capacité informatique a procuré aux analystes d'énormes occasions d'approfondir leurs recherches et d'extraire davantage d'informations des données, ce qui les aide à faire des choix et à ajouter de la valeur. Cette abondance d'occasions a créé plus de possibilités de répartition tactique de l'actif et de gestion active de titres à revenu fixe malgré la baisse des taux d'intérêt qui a accompagné ces événements. Dans l'ensemble, je dirais que la gestion de titres à revenu fixe s'est davantage spécialisée au fil du temps, et que la gestion d'un portefeuille de titres à revenu fixe procure plus d'occasions d'ajouter de la valeur que jamais je ne l'ai vu auparavant depuis le début de ma carrière.


Comment les portefeuilles de titres à revenu fixe RBC ont-ils été conçus ?

Ces portefeuilles ont été conçus pour vraiment profiter de la convergence de deux événements incroyablement importants dans l'entreprise au cours de la dernière décennie. Le premier de ces événements a trait aux fusions que nous avons effectuées et qui ont augmenté nos capacités et notre accès à des marchés hors du Canada. Phillips, Hager & North et, plus tard, BlueBay nous ont donné accès à des ressources plus abondantes sur le marché canadien des titres de créance, et à l'extérieur du Canada, à des marchés des titres de créance, certes, mais aussi à des marchés de titres d'État auxquels nous ne participions pas, comme les marchés émergents. Toutes ces choses, nous pouvons les combiner pour optimiser les portefeuilles et en améliorer le rendement. En même temps, nous avons toujours beaucoup investi dans le perfectionnement interne de notre personnel. Nous avons placé du personnel à Londres. Or, grâce à la convergence de ces deux phénomènes, nous disposons de capacités que nous n'avions pas auparavant ainsi que beaucoup plus de personnel dans celles-ci. Au cours des dix dernières années, nous avons assisté à une augmentation de notre personnel d'environ 33 % dans ce genre d'activité. Ensuite, nos compétences en matière de combinaison des avoirs ainsi que notre compréhension de ce que nous recherchions se sont réellement améliorées au cours de cette période. C'est notre réussite au chapitre de la distribution de produits équilibrés composés de positions acheteur sur de multiples actifs qui a permis cela. Nous avons maintenant 125 milliards de dollars de produits multiactifs dans cette entreprise, et cela s'accompagne de quelques exigences. D'abord, celle de faire une répartition stratégique de l'actif. Qu'est-ce que je veux combiner ? Quel est mon objectif et quel devrait être mon placement moyen dans ces produits ? Pour bien faire les choses, il faut comprendre les mathématiques financières, bien sûr, mais il faut aussi avoir accès aux marchés des produits à risque pour pouvoir les combiner. Alors, il faut se demander à quel coût on est disposé à accéder à ces marchés et dans quelle mesure, mais aussi si l'on sait ce que l'on est censé faire et quels montants on devrait y consacrer. L'échelle est un facteur déterminant des prix. Bien des programmes ont échoué parce qu'il n'y avait pas d'économie d'échelle. Le second volet à prendre en compte est la répartition tactique de l'actif, et nous avons de très grandes capacités à ce chapitre grâce au comité sur le risque et la politique de placement, au comité fonds équilibré PH&N... Parce que nous avons toujours fait des placements qui fluctuent au fil du temps, que ce soit en obligations, en actions ou en espèces, ou dans les multiples possibilités qu'offre chacune de ces catégories d'actif, nous avons les capacités requises pour faire une gestion tactique de ces actifs. Certes, le troisième facteur à prendre en compte maintenant que nous ne nous limitons plus aux marchés des obligations d'État est le risque de crédit que nous n'acceptions pas il y a quelques années quand nous n'investissions que dans des obligations du gouvernement du Canada. Nous faisons une analyse très rigoureuse du crédit. Alors, je pense qu'ensemble ces facteurs nous permettent de créer ce genre de solution en un seul produit.


Quels sont certains des leviers qu'emploie RBC GMA dans ses portefeuilles de titres à revenu fixe à multiples stratégies ?

Nous employons plusieurs moyens dans les portefeuilles à multiples stratégies et les portefeuilles de titres à revenu fixe. Commençons par faire une description de nos capacités au chapitre des titres de créance. Nous examinons la gamme complète des titres de créance, des titres de qualité aux titres à rendement élevé en passant par les titres des marchés émergents, et nous avons d'importantes équipes d'analyse du crédit sur place à plusieurs endroits dans le monde. La décision d'investir au Canada ou hors des marchés des titres à revenu fixe canadiens constitue un autre outils à notre disposition. Nous faisons la gestion de la courbe de rendement, ou des courbes de rendement puisque nous investissons hors du Canada, et la gestion active des devises et, bien sûr, nous prenons des décisions relatives à la gestion de la duration en fonction des taux d'intérêt. Dans ces portefeuilles, nous pouvons examiner les placements individuels, puis gérer et évaluer le degré de risque de chacun afin de contrôler ce risque à l'échelle du fonds de fonds en entier, si nécessaire en modifiant la répartition tactique du fonds ou en couvrant les fonds. Ne sous-estimons cependant pas l'importance de la politique structurelle appliquée à ces portefeuilles. Cette politique se fonde sur le fait que ces fonds ont été choisis parce qu'ils se complètent les uns et les autres. En plus, il y a une efficience opérationnelle qui se traduit par des coûts d'opération moins élevés et une capacité de rééquilibrage. Ce n'est donc que lorsque ces trois éléments sont réunis (gestion active, politique stratégique et efficience opérationnelle) que nous pouvons profiter de tous les leviers qu'offrent ces portefeuilles.


Pourquoi les portefeuilles de titres à revenu fixe RBC sont-ils opportuns aujourd'hui ?

Ces solutions ont été créées pour répondre, je pense, à un besoin pressant dans l'ensemble de notre clientèle, individuelle et institutionnelle. Les rendements en revenu des titres d'État, la source traditionnelle de rendement des portefeuilles de titres à revenu fixe, sont faibles et le resteront longtemps. Ils seront fort probablement très inférieurs aux niveaux que nous avons, pour la plupart, prévus dans les prévisions de rendement de nos plans d'épargne. Ces solutions nous permettent, en fait, d'exploiter les ressources que nous avons accumulées dans cette entreprise. La première de ces ressources est une solide capacité de répartition stratégique de l'actif. Il s'agit de définir mon objectif, de décider des avoirs à combiner pour atteindre cet objectif, de trouver où se trouvent les placements que je veux combiner et de déterminer le coût d'accès à ces marchés. Puisque nous avons développé nos capacités et notre présence sur les marchés, nous pouvons en faire profiter notre clientèle. La seconde ressource est la répartition tactique de l'actif. Même si je sais quels placements je devrais détenir en moyenne, il s'agit de choisir dans quoi investir maintenant et quels montants dans le riche éventail des titres à risque que je combine. Maintenant que nous sommes sortis de l'univers des obligations d'État et que nous acceptons certains types de risque de crédit, petits ou grands, la troisième ressource est l'importance beaucoup plus grande que revêt maintenant l'analyse en gestion du risque pour générer du rendement, une ressource qui peut, d'elle même, produire de meilleurs rendements. Enfin, même si vous pouvez faire toutes ces choses, avez-vous le temps de faire un coûteux examen de toutes ces positions et d'optimiser ces placements pour hausser les rendements et réduire la volatilité ? Ces portefeuilles permettent d'éviter d'être constamment accaparé par ces activités.


Pourquoi les portefeuilles de titres à revenu fixe RBC sont-ils opportuns aujourd'hui ?

Les portefeuilles procurent aux conseillers des occasions de générer de meilleurs résultats pour leurs clients. Ils donnent accès à une plus grande diversification, à un rendement en revenu relativement plus élevé, à une gestion active des devises et, bien sûr, à une certaine gestion des taux d'intérêt. Il ne faut pas sous-estimer la différence de coûts d'opération. Les portefeuilles profitent des coûts d'opération institutionnels sur les marchés des titres à revenu fixe, des coûts très inférieurs à ceux que paient les conseillers lorsqu'ils achètent des obligations individuelles, de sorte que le portefeuille devient beaucoup plus efficient. Finalement, les portefeuilles comprennent des fonds faisant l'objet d'une gestion active qui, je crois, représente le meilleur choix que puissent faire les clients, surtout sur les marchés des titres de créance, puisque vous profitez d'une analyse de crédit qui permet, aux fins de la répartition, de faire une distinction entre les créances de qualité et celles qui le sont moins, pour ne pas dire médiocres. De surcroît, surtout au stade actuel du cycle, je pense qu'il est très sensé de profiter des avantages de portefeuilles assortis d'une gestion active à faibles coûts des titres de créance.

Déclarations

Ce rapport a été fourni par RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) à titre informatif seulement et ne peut être reproduit, distribué ou publié sans le consentement écrit de RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA Inc.). Au Canada, ce rapport est fourni par RBC GMA Inc. (dont Phillips, Hager & North gestion de placements). Aux États-Unis, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral. En Europe et au Moyen-Orient, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (UK) Limited, qui est agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni. En Asie, ce document est fourni par RBC Investment Management (Asia) Limited, qui est inscrite auprès de la Securities and Futures Commission (SFC) de Hong Kong.



RBC GMA est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe RBC GMA Inc., RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., RBC Global Asset Management (UK) Limited, la division de gestion d’actifs de RBC Investment Management (Asia) Limited, et BlueBay Asset Management LLP, qui sont des filiales distinctes mais affiliées de RBC.



Ce rapport n’a pas été revu par une autorité en valeurs mobilières ou toute autre autorité de réglementation et n’est inscrit auprès d’aucune d’entre elles. Il peut, selon le cas, être distribué par les entités susmentionnées dans leur territoire respectif. Vous trouverez des précisions sur RBC GMA à www.rbcgma.com.



Le présent rapport n’a pas pour objectif de fournir des conseils juridiques, comptables, fiscaux, financiers, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. Le processus de placement décrit dans ce rapport peut changer avec le temps. Les caractéristiques mises de l’avant dans ce rapport visent à dresser un portrait général des critères utilisés dans la sélection des titres détenus dans les portefeuilles des clients. Les placements des portefeuilles des clients ne satisferont pas toujours tous ces critères. RBC GMA prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements à jour, exacts et fiables, et croit qu’ils le sont au moment de leur impression. RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier les renseignements, ou de cesser de les publier.



Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans le présent rapport a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantissent explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions.



Les opinions et les estimations que renferme le présent rapport représentent le jugement de RBC GMA à la date indiquée et peuvent être modifiées sans préavis ; elles sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale. Les taux d’intérêt et les conditions du marché peuvent changer.



Les rendements sont estimés à des fins d’illustration seulement et ne constituent en aucun cas des prévisions. Le rendement peut être supérieur ou inférieur à celui indiqué, et peut varier considérablement à plus court terme. Il est impossible d’investir directement dans un indice non géré.



Note sur les énoncés prospectifs

Le présent rapport peut contenir des déclarations prospectives au sujet des rendements futurs, stratégies ou perspectives, ainsi que sur les mesures qui pourraient être prises. L’emploi des modes conditionnel ou futur et des termes « pouvoir », « se pouvoir », « devoir », « s’attendre à », « soupçonner », « prévoir », « croire », « planifier », « anticiper », « évaluer », « avoir l’intention de », « objectif » ou d’expressions similaires permet de repérer les déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des incertitudes et des risques inhérents quant aux facteurs économiques généraux, de sorte qu’il se peut que les prédictions, les prévisions, les projections et les autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu’un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont mentionnés, explicitement ou implicitement, dans les déclarations prospectives. Ces facteurs comprennent notamment les facteurs généraux d’ordre économique et politique ou liés au marché du Canada, des États-Unis et du monde entier, les taux d’intérêt et les taux de change, les marchés mondiaux des actions et des capitaux, la concurrence, les évolutions technologiques, les changements législatifs et réglementaires, les décisions judiciaires et administratives, les actions en justice et les catastrophes. La liste de facteurs essentiels ci-dessus, qui peut avoir une incidence sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement ces facteurs et les autres facteurs pertinents. Toutes les opinions contenues dans les déclarations prospectives peuvent être modifiées sans préavis et sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale.



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